LOVE LIKE FIRE & ICE

Quotidien

- Hazel Wolfe -

C'était ma dernière année à l'université,

actuellement je suis serveuse dans un restaurant, mais comme j'ai toujours aimée cuisiner,le chef me laisse faire quelques menus et utiliser la cuisine hors service.

Le restaurant est studieux, sombre, il y a une bougie sur chaque tables, un lustre éclair la pièce et l'étage. Au niveau du bard se trouve des néons violets, les chaises sont rouges bordeaux, de même pour les serviette, et les couverts sont noirs comme je n'avais jamais vu avant.

Tout les verres sont transparent, tellement que cela permet de distinguer nettement le liquide qu'il y a à l'intérieure.

Un des murs du restaurant est recouvert d'une bibliothèque murale noire gigantesque, on peut y emprunter des livres et qui sait ?

Peut-être qu'un jour j'écrirais un livre puis je le vendrais ici.

A l'étage, le mur du côté de la ville et les buildings démesurés, est recouvert d'une vitre immense qui rend la pièce encore plus spacieuse.

Le restaurant est en plein New York.

Le soir, cette ville est magnifique avec toutes ces lumières, c'est captivant, mais il faut faire attention aux tarés qui trainent, c'est pourquoi je ne sors jamais seule.

Après mon service, llario m'accompagne toujours, on se dissipe dans cette immense ville et toutes ces foules de touristes, puis à la fin de ces soirées extraordinaires nous allons nous asseoir au bord du pont de Manhattan.

De là, la vue est sublime, je ne m'en lasserais jamais.

- Hazel ?

Ilario me sors de la rêverie, je pensais à ce chat, il faut que je trouve des réponses, ou plutôt trouver la flamme si elle existe.

Je sais, j'ai dis que je n'y croyais pas mais je ne fais qu'y penser, il faut que je comprenne.

- Excuse-moi.

- Y'a t-il des gens qui ont réservé pour ce soir ? Dis-je pour éviter le sujet.

Je lui pose la question en souriant pour lui faire comprendre que je ne pensais à rien d'important, mais mon meilleur ami me connais trop bien, il va me poser la question sur le pont ce soir.

Il va être fier de lui, il m'a embobiné avec son histoire de signe absurde.

- Mmh, ouais il y en a pas mal mais connais-tu cet homme ? Dit-il en me montrant sur l'ordinateur du restaurant un nom de famille.
Car je vois son nom écrit sur la liste tout les samedis soir, et il réserve toujours la même table, une de celles que tu dois servir. Il vient toujours seul, cela me parait étrange.

- Non je ne le connais pas, mais je suis d'accord avec toi, c'est étrange, surtout qu'il a notre âge, je me demande-bien comment il peut se payer un resto tout les samedis sans exceptions. De plus, il est impoli, aucun remercîments ni de « bonjours, aurevoir », il me jette seulement son petit sourire insultant, je le déteste mais il a l'air de ne pas m'apprécier beaucoup non plus, à chaque fois que je prononce un mots il sort ce putain de sourire, comme ça regarde.