chapitre 2

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Sincèrement pourquoi les réveils existent -t - ils . Ils sont sec, strident et réveil sans douceur et achève par la même occasion l'agréable royaume imaginaire des rêves.
Les quelques heures que j'ai dormis me donne un air encore plus cadavérique que d'habitude.
Une nouvelle journée commence, et pas la moindre je dois dire, le jour de la rentrée!

Habituellement j'aurais sauté de joie, bien que j'aime lire et étudier, qui sont entre nous qu'un moyen pour échapper à mon imagination débordante. Ce n'est plus le cas depuis la guerre. Mes idées autres fois enfantine deviennent celle d'un femme détruite, pire celle d'un belligérant. Car c'est bien ce que je suis, c'est ce que nous sommes tous à présent, toujours sur nos gardes, a nous méfier d'une simple ombre, Nous nous protégeons.
Nous essayons de revenir à ce que nous étions avant cette sombre époque.
Notre enfance : volé
Notre ignorance : détruite
Notre joie : atténuer
Nos amis et famille : mort
Voilà les désastres d'une guerre.
La guerre sème tristesse et désolation, mort et douleur.
Mes pensées sombres seront pour un autre jour, décidée à essayer de ma torpeur j'entre dans la cabine de douche l'eau me détend et me permet de me ressaisir, je frotte mon corps et regarde cette immonde cicatrice: "sang- de- bourbe " quelle expression ridicule, comme celle qui me l'a infligée une folle ridicule. je sors de la douche, sèche mes cheveux bruns et les lisse grâce a mon superbe lisseur babyliss, pourquoi ne pas utiliser un sort ? C'est simple aucun ne fonctionne sur moi, ils on tous essayé, Ginny, Harry , Ron , Lavande, Luna , Neville mais cela ne marche pas, je ne peux pas modifier mon apparence magiquement. Une fois mes cheveux bien raide, je me maquille , la même routine . Je ferme ma trousse de toilette et la case dans ma malle. Je regarde la tenue que j'ai choisi une dernière foi , un short en tissue noir avec chemisier court blanc avec des manches bouffantes et un décolletée prononcé, pour une fois je me sens belle je me sens désirable. J'enfile mes talons noir et Or , réduis ma valise, prend mon sac à main, ferme la porte et transplane dans une rue proche de king's cross. Je sens le regard des jeunes garçon moldu, il semble que ma tenue fasse son effet , je passe les voix et me dirige vers le mur situé entre la voix 9 et 10 et le traverse. Le quai est bondée mais j'aperçois Madame Malfoy et sa magnifique progéniture et deux autres dame toutes deux d'une beauté phénoménale, la première un femme de taille moyenne le teint pâle des longs  cheveux bruns bouclés en belle anglaise bien ordonnés  et des yeux vert, elle semble réprimandé une jeune fille que je reconnais comme étant Pansy Parkinson, la seconde possède des cheveux noir lui arrivant aux épaules et des yeux bleus ciel , elle embrasse la joux d'un jeune homme avec des cheveux noirs et la peau matte surement Blaise Zabini. Madame Malfoy me regarde et me souris d'un sourir franc tout en donnant un coup de coude a la femme au long cheveu noir, elle me salut d'un coup de tête, comme la mère de Pansy.
Cette dernière attrape ces deux amis par les manches.

- Salut Granger, je viens te remercier d'avoir aidé Harry et de m'avoir sauvé. Je tiens à m'excuser de t'avoir insulté lorsque j'étais jeune... Putain vous pouvez pas aligné deux mots ou Quoi? je sais que Granger est belle mais tenez - vous, on est pas dans un zoo ,
Excuse- les Hermione ce sont des garçons et ils ont une fierté mal placé - me dit Pansy

- Excuse accepté Pansy ! Et je confirme leur fierté compte plus que tout, bien qu'entre nous elle ne soit pas bien haute- lui dis-je en chuchotant

- Eh c'est pas vrai - répliqua Blaise - cependant Je tiens à m'excuser Hermione

- Moi aussi Granger, je suis sincèrement désolée et pour ce que ça vaut, je ne te détesté pas vraiment et je n'ai jamais cru que tu m'étais inférieure - dit Malefoy

Alors là je tombe sur le cul Malefoy vient de s'excuser et des sincères en plus. Ça m'a fait plaisir.
Sur un coup de tête je fais la bise à Malefoy et Zabini et prends Pansy dans mes bras, je l'entends rigolé et resserre mon étreinte .

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