♜ 𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 𝟏

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Bianca

Un sifflement se fait entendre depuis la fenêtre de la cuisine, ma mère prépare le petit-déjeuner tandis que mon père feuillete son journal du jour.

Il est 6h20, je me réveille au son de la voix de ma mère qui crie mon prénom de bon matin.

- BIANCA ! DESCENDS !

C'était une matinée ensoleillé où on pouvait apercevoir à travers la fenêtre de ma chambre, les rayons du soleil percé le ciel, qui au passage éclaire la pièce dans laquelle je me trouve.

Subitement, j'émis un bâillement avant de me lever du lit afin de regagner la salle de bain pour effectuer ma toilette quotidienne. J'ouvre tout doucement le robinet du lavabo, laissant l'eau couler lentement entre les paumes de mes mains que je nettoie avec minutie. Suite à ça, je rince mon visage avant de refermer le robinet, en m'essuyant avec la serviette qui est accroché au porte serviette près du lavabo.

Je descends les escaliers en sillonnant le couloir jusqu'à être arrivée au salon où mes parents attablés prennent ensemble leur petit-déjeuner.

Au moment où je fais mon apparition, mes parents m'offrent un sourire radieux avant de m'inviter à les rejoindre, ce que je fis. Ma mère commence à me servir des pancakes, d'emblée je pris place à côté de mon père qui me caresse doucement mes cheveux de ses longs doigts.

À cette époque, je n'avais que sept ans. On formait une famille heureuse et banale à la fois. Mes parents étaient très heureux et satisfait de leur vie, ils étaient un couple très fusionnelle, ils n'avaient pas besoin de communiquer pour se comprendre, ils avaient simplement à se regarder. J'admirais cette amour que mes parents portaient l'un pour l'autre.

Ma mère s'appelait Guilia et mon père s'appelait Alfonso.

Ils étaient mes modèles et mon idéale.

Mais très vite un évènement va bouleversé le quotidien que je vivais jusqu'à présent.

Tout a commencé dans cette même journée, en fin d'après-midi, ma mère m'a laissé m'amuser dans le jardin qui était ornée de roses qui longèrent les murs extérieurs de la maison, la verdure était d'un vert d'eau presque transparent.

Cela ressemblait plus a un jardin royal qu'à un simple verger.

Dès que j'aperçus au loin une balançoire attaché à un arbre, dont des fleurs étaient en mêlées entre elles et torsadés sur les deux cordes qui les maintiennent. Je me suis précipitée vers elle, en prenant place dessus je commence à me balancer en allant de gauche à droite, le vent caresse mes petites joues rougis par son simple toucher, mes cheveux blonds or virevoltent autour de mon joli minois, mes yeux verts d'eau brillent d'un éclat plein d'émerveillement, ça me fait tellement de bien, une joie immense se loge dans ma poitrine.

J'étais heureuse et attristée d'être constamment seule...

J'ai tenté à mainte reprise d'en discuter avec ma mère, mais à mon grand étonnement elle me répété sans cesse que cela faisait partie de mon destin et que j'étais promis à un grand avenir. À l'époque je ne comprenais pas la signification de tout cela.

Donc, comme je disais, je faisais de la balançoire, quand tout d'un coup, une voix m'interpelle.

- Douce enfant, que tu es belle ! Viens jouer avec moi. Je m'ennuie tout seul !

Bianca : Qui es-tu ? Je ne suis pas les étrangers !

- Pourtant, je ne suis pas si étranger que ça, je connais tout de toi, y compris ton fameux secret !

L'élueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant