je voulais me reconfesser à lui, cette fois si il ignorait encore mes sentiments j'abandonnerai. De ma fenêtre je pouvais apercevoir la lumière allumer dans sa chambre. Je n'arrêtais pas de réfléchir à la manière dont je lui dirait. Mon cerveau surchauffa et dans la multitude d'idée qui m'étaient parvenues, une me semblait plutôt adaptée à la situation. Je pris une feuille de papier, et laissa mon coeur parler, j'écrivais afin qu'il puisse tout lire de loin:
Tsukishima, merci tout d'abord. Je ne t'appréciais pas du tout au début, t'es une personne assez froide et distante. Tu sembles désintéressé de tout et tu es désagréable mais tu es incroyable. Ton habitude à remonter tes lunettes après avoir réussi un contre, tes mimiques lorsque tu lances des pics, tes cheveux blond qui rappelle la lune, tes fins doigts qui touche tout avec délicatesse, ton odeur de livres légèrement ancien, tes goûts musicaux qui contraste avec ton caractère, tout ça m'a rendu un peu plus chaque jour amoureuse de toi. Je t'aime Tsukishima, ces mots semblent étrange, je ne suis pas sure de mes sentiments mais si c'est ça l'amour je crois que je risque de t'aimer un peu trop. Je t'aime et voilà.
Tu accroches la feuille à ta fenêtre, éteins la lumière et lui envoi un message.
Toi: Regarde par ta fenêtre s'il te plait.
Tsukishima voit ton message. Mon coeur s'accéléra, je regrettais presque mais je ne pouvais plus faire marche arrière. Cela faisait maintenant 10 minutes qu'il avait lu ton message alors pourquoi n'avait-il pas répondu. Tu commença à désespérer et pleura, pendant de longues minutes qui semblait des heures. Tu finis par t'endormir tu te réveillas vers 1h du matin. Tes yeux rougis à cause des larmes te piquait. Il avait finalement décider d'ignorer tes sentiments. Tant pis tu devais l'oublier. En te regardant das le miroir, tu remarquas que tes cheveux avaient beaucoup poussés depuis ton arrivée au Japon, il était peut-être temps de les couper... A cette pensée tu décida de sortir un peu. Tu avais pris l'habitude de marcher en silence lorsque tu étais en France pour ne pas réveiller ton père lorsque tu rentrais tard. Dehors on ne voyait même pas la lune, les nuages trop épais l'empêchaient de briller, la ville nocturne était calme et vide. Seul des chats passaient de temps en temps. Tu regardas en direction de la maison de Tsukishima; tes larmes voulaient couler mais tu les retenus. Marchant dans la rue éclairer par seulement les lampadaires tu mis tes écouteurs. Le konbini au bout de la route était fermer pour cause de travaux. Tu te dirigea vers l'air de jeux où tu repensais à tout depuis le début de ton retour, à Tsukishima, au remariage de ton père. Tu devais tout oublier ce soir et devenir une autre personne. De longues heures passèrent quand tu reçus un appel. Tu répondu par réflexe mais tu aurai préférer ne pas le faire c'était Tsukishima.
"- (T/p)
-...
Après un cour silence tu répondis
oui ?
- Tu peux sortir 5 minutes s'il te plait?
-Non désolé.
-... Si tu veux. Il reprit son air désintéresser ce qui serra ton coeur.
-Je suis déjà dehors, si tu veux me voir viens à l'air de jeux.
-D'accord"
bien que la discussion fut courte elle était intense pour toi. Tu voulais l'oublier mais voilà qu'il revenait. Tu savais très bien que s'il revenait tu ne pourrais plus renoncer à lui, mais c'était trop tard car il était déjà là.
"-Tsukishima...
-T/p, qu'est-ce que tu fais dehors à cette heure ?
- Je sors de ta faute.
- De ma faute ? Il te regardait avec des yeux emplit d'incompréhension .
-J'essaie de t'oublier crétin.
Il te regarda quelques instant pour bien comprendre la situation puis se retourna.
-Je ne comprend pas, il y a même pas 1 heure tu me disais que tu m'aimais à en mourir mais la tu ne veux plus de moi ? Très bien alors." Il partit de la où il venait. Tsukishima disparaissait de plus en plus dans la noirceur de la nuit. Tu éclata en sanglots, pourquoi tu lui avais dis ça. Tu l'aimais et tu le savais très bien. Cette nuit tu pleurais beaucoup décidément. Après 5 minutes tu te dis que tu allais peut-être rentrer car il commençait à faire froid. Tu te leva et sentit une veste se déposer sur tes épaules, par la même occasion des bras s'enrouler autour de toi. C'était Tsukishima, sa tête poser dans le creux de ton cou il te chuchota:
"-T/p, Je ne t'avais même pas encore donner ma réponse que tu étais persuader que je ne t'aimais pas. Ne tire pas tes propres conclusions toute seule idiote !"
Tu te retourna vers lui, son visage était extrêmement proche ce qui te fit rougir légèrement.
"-Alors tu m'aimes aussi ?
Il détourna le regard, cherchant une réponse à ta question.
- Je ne sais pas.
Tu semblais t'attendre à pire alors entendre ça te fit presque rire. Sans parler de sa tête qui semblait aborder des expressions toutes nouvelles.
- Je m'y attendais de toute manière, rien que tu me tienne dans tes bras comme ça est suffisant merci de ta/
Il te coupa la paroles
-MAIS, je mentirai si je disais que ta déclaration ne m'a pas fait plaisir. Après y avoir pensé je me suis rendu compte que j'avais changer depuis que je t'ai rencontré. Quand tu es là peu importe le reste, quand tu es loin je ne pense qu'à toi, quand j'écoute de la musique je me dis que tu pourrais bien aimer tel groupe ou tel chanson,j'imagine parfois un avenir ou nous serions ensemble, quand tu es avec d'autres mecs je me sens mal alors si c'est bien de l'amour. Je t'aime aussi."
Face à une telle déclaration tu ne retenu pas tes larmes, qui cette fois étaient de joie. Il te prit dans ses bras te serrant un peu plus. Tu pouvais entendre son coeur battre, tu l'aimais et lui aussi, rien ne décrivait cette joie infinie que tu ressentais. Il releva ton menton et t'embrassa, vos lèvre se décollèrent à cause du manque d'oxygène. Tu lui souris et rit, ce qui lui fit détourner le regard et rougir encore plus. Vous rentrèrent juste après main dans la main en écoutant vos musiques préférées. Tu mourrais d'envie de l'annoncer à tout le monde le lendemain, mais tu ne pus pas le faire malheureusement...
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