CHAPITRE 1

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Ce matin, la douleur est trop vive, les images de ces nombreux soirs me hantent. Je ne supporte plus ma vie, je pleure, je tremble, je suis à bout. Je ne pensais pas pouvoir être aussi mal, je veux me délivrer. J'aperçois ma fenêtre la tentation est trop forte. Je me lève tremblante, j'enjambe mon balcon et fixe avec avidité le vide. Si je me jetais de ces 7 étages je serais surement délivrer. Pourquoi j'avais un tel besoin de crever ? Pourquoi je ne pouvais pas faire comme tout le monde et supporter mon passé ?

Du haut de cette fenêtre j'essayais de me rappeler comment tout avait commencé, de me souvenir des jours heureux mais je n'y arrivais pas seule ces actes odieux me revenais en mémoire. J'étais une jeune fille heureuse et pleine de vie mes ils mon détruit...

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Je venais d'avoir 3 ans, quand il entra dans ma vie. Ma mère rentra un soir accompagné d'un homme du nom de Marc, il se tenait la main, je ne comprenais pas réellement ce qui se passais. A vrai dire je n'avais jamais vue ma mère avec un autre homme que mon père, ils s'étaient séparer alors que j'étais à peine âgé de 2 ans. Depuis cette époque je vivais avec ma mère et ma grande sœur Ophélie de 3 ans mon aînée. Ophélie n'était pas réellement ma sœur nous n'avions pas le même père.

Je ne fessais pas attention à Marc et Ophélie fessais de même. Les années défilèrent et je m'habituais de plus en plus à sa présente. Je commençais même a le considéré comme mon beau-père en même temps je ne pouvais plus faire comme si il n'existait pas car ma mère avais mis au monde sa fille une joli petite blonde du nom de Julie.

Quelques années après la naissance de Julie nous déménageâmes et troquions notre appartement pour une belle petite maison. Marc avait décidé de monter son entreprise de plombier chauffagiste et inclus ma mère dans l'affaire. Nous jouions parfaitement le rôle de la famille parfaite mais cacher derrière les quatre murs de notre maison les autres n'avez rien à nous envié.

Les journée défilaient et se ressemblais mais plus le temps passais plus j'étais terrifié a l'idée de rentré à la maison. L'atmosphère étais devenu pesante, étouffante.

Marc buvait de plus en plus, il rentrait tard ce qui provoquais des disputes entre lui et ma mère. Je ne supportais pas de les entendre crier, je n'en pouvais plus de tous cela...J'espérais secrètement que cela s'arrangerais mais non se ne fit qu'empirer.

Un soir Ophélie décida que s'était plus possible, qu'il ne pouvait pas se disputé comme ça. Elle quitta notre chambre, descendit les escaliers et entra dans le salon. Je suivais la scène depuis les escaliers. D'une voix semi-assurée elle s'exclama :

- « Arrêter de vous disputé pour cette fois, moi et Lucie aimerions dormir demain nous avons cours.

Marc s'approchât alors d'elle et lui souffla sont haleine emplit d'alcool dans le figure et lui dit :

-« Toi, la petite merdeuse tu vas remonter dans ta chambre et fermer ta gueule.

Ophélie fut choqué de c'est propos jamais on lui avait parlé ainsi. Ma mère allais intervenir quand Ophélie repris la parole. Je la trouvais si courageuse.

- « Tu n'as aucun droit de me parler comme ça je ne suis pas ta fille et encore heureux je ne voudrais pas d'un père alcoolique.

- Tu te crois maline, petite connasse. Hein ? tu te crois grande

Il continuait son monologue et le son de sa voix montais dangereusement quand d'un coup il lui mit une gifle. Ophélie tomba au sol en pleure. C'est à ce moment-là que ma mère intervient :

- « Tu n'as pas le doit de lever la main sur ma fille, si tu la retouche une seule fois tu prends la porte, T'AS COMPRIS !!

Je l'entendis bafouiller des excuses, ma mère emmena Ophélie dans la salle de bain pour la soigner la gifle avais été tellement forte qu'elle saignait de la lèvre. Ce soir-là il dormit dans le canapé et Ophélie dormit avec maman, moi je ne dormis pas de la nuit repensant a tout ce qui venais de se passer.

Les jours qui suivie je fus peut présente à la maison j'évitais tout le monde et je parler peut. Mon comportement changeais, je n'étais plus la jeune fille naïf et rêveuse. Mes rêves, mes espoirs, mon innocence disparurent. Ce fut les premières choses qu'il détruisit en moi.

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Voila j'espère que se premier chapitre vous aura plus n'hesiter pas a commenter.

DétruiteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant