Nouvel associé.

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La tension monte d'un cran, j'ai l'impression de ne plus savoir faire, d'avoir l'impression que je serais nulle de pas réussir à toucher ou embrasser ? 

Je pose mes mains autour de son cou, nos respirations chaudes s'entremêlent, nos bouches sont si proches qu'un frisson d'excitation me parcours.

- Ta entendu dit il ? d'un air inquiet.

Mais qu'est ce qui lui arrive ? Je me concentre pour écouter plus attentivement et la les cries parviennent jusqu'à mes oreilles. Je sort précipitamment des toilettes, des tires transperce les vitres du bar, les filles hurlent, tout le monde essaient de ce cacher pour éviter de prendre une balle perdue, ou voulue ? 

- Baisse toi ! je hurle à mon rugbyman.

A peine le temps de finir ma phrase qu'il prend une balle en pleine tête, ses images la ne me choque plus depuis longtemps mais l'angoisse prend tout mon corps mais pourtant il faut que je me protège que je me cache mais les filles sont la en pleine angoisse? Je craint que l'une d'entre elle soit blessée.

J'aperçois Kamille au loin, elle se tient le ventre.

- Merde, merde, merde... je répète.

Je rampe dans les morceaux de verres jusqu'à elle.

- Valentina, putain, bouge pas tes complètement malade !

Je déchire un bout de sa robe et je  lui plaque sur la blessure par balle, elle perd beaucoup de sang. Les flashbacks me bouscule le cerveau, je perd un peu pied.

- Y a quelqu'un qui a un putain de flingue ici ? je hurle.

Personne n'entend le k.o et les tires rendent sourds. 

- Je dois avoir ça dans mon sac, bouge pas et comprime bien le tissu d'accord ? 

- Tu vas crever bordel bouge pas d'ici, Valentina, je t'en supplie.

- Il le faut ok ? Je peux pas laisser faire sa.

Je n'ai pas le temps de faire un pas de plus, que des tire fusent à nouveau mais ce n'est pas les mêmes que ceux qui tirent depuis tout à l'heure. Les crissements de pneus et les bruits de moteur de moto, c'est tout ce que j'entend mais ce que je vois aussi c'est que les tires ne visent plus le bar.

- Il faut sortir ! allez y ! Passer par derrière !! je hurle à plein poumon.

Tout le monde sort, comme ils peuvent. Il y a des blessées et je porte Kamille vers l'un des rugbyman.

- Prend la et sort la d'ici.

- Sort d'ici Valentina, murmure Kamille.

- Il faut que je regarde si tout le monde est sortis d'abord ? J'arrive promis.

Je tente d'analyser le bar, s'il y a des gémissements mais je n'entend rien , la guerre dehors amplifie, j'observe dehors, c'est un massacre. Je tente alors de sortir à mon tour mais les tires re partent dans le bar, les balles me frôlent tellement de fois que je ne serais pas dire comment j'esquive.

- Valentina ! 

Mes yeux grossissent, je n'ai plus peur des tirent, j'ai peur de cette voix que je reconnais. La peur me prend tellement au ventre que je m'apprête à courir mais ça c'était si on ne me plaquait pas derrière le bar, j'en ai le souffle coupée.

Il fait à moitié noir, seule la lumière des coups de feux éclairs à l'intérieur.

- Putain mais t'es suicidaire ou quoi ?! 

- C'est impossible...

- Arrête de parler maintenant.

- Massimo... je murmure.  

After MassimoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant