20- Intelligence

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Jay's POV

Une fois arrivés en haut, tout le monde nous regarde étant donné que nous sommes seize soldats, avec huit familles, on pourrait dire que notre apparition n'était pas forcément très discrète. Dès que l'équipe me voit, ils sont tous surpris, c'est le moins que je puisse dire. Et dès qu'ils ont compris que j'étais en chair et en os ici, devant eux, les filles courent me faire un câlin, et les garçons me font soit un câlin soit un check. Puis, ils m'assomment de questions. Pour être honnête, je trouve ça trop mignon, ça se voit qu'ils tiennent tous à moi. On est vraiment une famille.

"Comment tu vas?" Hailey me demande

"Depuis quand tu es revenu?" Me demande Kim

"Est-ce que tout va bien?" Me demande Alvin

"Pourquoi il y a autant de monde?" Me demande Adam

"Pourquoi ils sont tous blessés?" Me demande Antonio

"Ca va ? Je t'ai vu avoir mal." Me demande Kévin.

Et dès que Kévin dit ça, tout le monde se tut. 

"Ok, ok, je vais répondre à toutes vos questions. Attendez juste deux minutes. Diaz, viens par là." Quand je dis ça, tout le monde me regarde confus. Diaz s'approche de moi et nous allons autre part.

"Qu'est-ce qu'il se passe Halstead?" Sergent Diaz me demande

"Il faudrait que tu me passes le téléphone avec les lignes sécurisées. J'ai besoin de passer un coup de fil." Je dis. Diaz me passe le téléphone.

"Merci. Tu peux partir s'il te plaît, c'est une conversation classifiée et s'il te plaît assure toi que les autres ne disent aucun mot sur la mission." Et sur ça, il part.

Je prends donc le téléphone en main, et appelle le Commandant River.

CR : "Commandant River"

H : "Bonjour Commandant, je suis actuellement arrivé à Chicago, et nous avons toutes nos familles, cependant, je voulais savoir quelles informations je pouvais divulguer étant donné que je connais ma famille et ils risquent de poser des questions."

CR : "Vous pouvez dévoiler qu'ils sont sous protection car une menace est tombée sur eux suite à une mission et qu'il ne faut pas la prendre à la rigolade vis-à-vis de qui on a affaire. Et si ça ne suffit pas, vous pouvez dire qu'un des plus grands groupes terroristes les a dans le collimateur. Vous ne pouvez pas divulguer d'autres informations sans nous demander l'accord."

H : "J'ai compris Commandant. Merci et en revoir."

CR : "En revoir Lieutenant"

Sur ça, je raccroche. Je sors donc pour rejoindre les autres. Tous les regards sont tournés vers moi. Je m'approche de Diaz et le prend à part. Je lui rends le téléphone et je lui demande ce que les autres ont dit.

H : "Qu'est-ce que les autres ont dit?"

D : "Ils se sont présentés, on discutés entre eux. Sergent Voight et tes amis ont demandés ce qui se passait et je me suis interposé avant que quelqu'un ne réponde et j'ai dit que tu diras les choses en temps voulu."

H : "Ok, merci. Rien d'autre?"

D : "Non"

H : "Ok, viens on y retourne et je vais dire ce que je peux."

D : "Ok"

Nous sortons et je me mets en plein milieu du bureau et je commence à répondre aux questions comme je vois plein de têtes confuses à pourquoi je suis aussi discret et sur mes gardes.

"Donc pour répondre à vos questions, je vais bien. Je viens tout juste de revenir. Non, tout ne va pas bien. Il y a autant de monde car les civils sont sous protection et vous l'êtes vous aussi. Ils sont tous blessés parce qu'ils sont tous blessés. Et oui je vais bien et oui il se peut que j'ai été moi aussi blessé. Mais rien de grave, tout le monde va bien." Je dis, et tout le monde est aussi confus qu'avant. Et je suis à nouveau avec un million de questions de posées. Il y a tellement de questions que je ne sais pas qui les posent.

"Pourquoi tout le monde est sous protection?"

"Comment tu t'es blessé?"

"Pourquoi on est sous protection, on est la meilleure unité de la ville?"

"Quelque chose en rapport avec ta mission, fils?"

Et encore une fois tout le monde se tut.

"Vous êtes sous protection car une menace est surgie suite à une de nos missions. Et même si on est la meilleure unité de la ville, je doute que fasse à ses personnes vous pourriez vous défendre tout seul. C'est pourquoi vous allez tous remballés vos affaires, vous prenez vos armes, on va passer chez vous prendre des affaires et on va aller à une planque. Non négociable." Je dis fermement ma dernière phrase pour faire comprendre que c'est très sérieux.

Ils partent donc chercher leurs affaires. Une fois leurs affaires ramassés, on descend et on vérifie les véhicules une nouvelle fois... 

Le passé de Jay HalsteadOù les histoires vivent. Découvrez maintenant