Dilemme

237 37 1
                                    

- Parle moi de toi. Demandai-je souriante en le regardant prendre une gorgée de son vin blanc

- Moi ? Pourquoi pas l'inverse ? Demanda t'il m'offrant un sourire

Il posa alors son verre sur la table parfaitement bien décoré avant de reposé son regards sur moi, Fernando avait réservé la meilleure table de ce restaurent de luxe se trouvant dans les Champs-Élysées. Et toute cet belle organisation pour un dîner avec moi ?

Je fis mine de bouder avant que Fernando puisse succombé.

- Je suis d'origine sénégalaise de ma mère et espagnol de mon père, j'ai 25 ans et je suis PDG de plusieurs entreprises m'appartenant à moi ainsi qu'à mon père. Dit il reprenant une gorgée de son vin

Je suis surprise en découvrant ses origines, car moi aussi je suis sénégalaise mais de père et portugaise de mère. Je lui offre un sourire même si j'aurais voulue qu'il me parle un peu plus de sa personne qu'il me dise des choses complètement futiles à son sujet comme : ses hobies, sa date d'anniversaire, sa fête de l'année préférait ainsi de suite.

- À ton tour maintenant Mlle.N'diaye. Dit il souriant

Je pris donc à mon tour une gorgée de mon vin avant de lui parlé de moi et plus les minutes passèrent plus j'entrais dans les détails de ma vie de plus j'aimais la façon dont il me regardait j'avais cet impression d'être importante à ses yeux puis je me surprends moi-même a lui parlé de Élisa de mon enfance à ses côtés et les larmes montent lorsque je lui parle de son êtats actuel. Lorsque je finis mon récit Fernando me regarde attentivement puis passe ses doigts sur mes larmes afin de les sècher.

- Ne pleures plus, je ne veux pas te voir dans cet états. Dit il en emmêlant ses doigts aux miens

Je sourie faiblement en regardant nos doigts emmêlés.

- Ne t'en fait pas.

Nous nous mettions à discuter tout en riant, il me faisait rire et j'aimais ça car il a rapidement sût me changée les idées quand d'un coups il reprit tout son sérieux en me regardant dans les yeux .

- Katalīna écoute. Dit il en lâchant un soupire aloors que son pouce se mit à caressait ma main. Ça me blesse que ta grand-mère sois dans cet état et ça me blesse encore plus de te voir ainsi perdant espoir alors je te propose quelque chose je payerai son opération ainsi que ses soins,si tu accepte de devenir mienne et lorsque je dit mienne c'est à dire ma femme Katalīna.

Je regardais Fernando sous le choque, je ne savais plus quoi pensée à pars le fait qu'il venait de m'imposé un dilemme des plus fou. Alors que lui me regarde d'une façon neutre comme si ce qu'il venait de dire n'était pas insensé a ses yeux. Comment peut-il me demandé une tels chose alors qu'il me connait que depuis hier, c'est stupide et réellement insensé.

- Fer..Fernando je..je...

- Accepte et tu verra dès cet semaine ta grand-mère dans tes bras. Dit il me coupant la parole avant de prendre une gorgée de son vin blanc

Elisa...je soupire me mordant délicatement la lèvre inférieur en posant mon regard sur Fernando.

- Combien de jours ? Questionnai-je

Il hausse son sourcil droit ne comprenant certainement pas ma question.

- Quand est-ce que je dois te donnée ma réponse. Dis-je dans un murmure

- Tu as vraiment besoin d'un délais ? Dit il d'une voix rauque

- Oui. Dis je en baissant la tête avant de reprendre. J'ai besoin d'y...d'y réfléchir.

- Très bien donc je veux que tu me donne ta réponse demain soir. Dit il simplement

_______________

Assise contre la porte d'entrée, je me mise à éclater en sanglot ma respiration se faisait de moins en moins forte à cause de mes suffoquement et j'avais l'impression d'étouffé dans cet robe que je m'empressa d'enlever. Devenir sa femme étais ma seule option pour sauvé Élisa, pourtant je ne m'en sent pas capable et je ne le veux pas Fernando à beau être séduisant, beau, galant et riche je n'en suis pas amoureuse. De plus je ne connais pas l'amour et l'amour ne me connait pas nous sommes inconnues l'un envers l'autre, je me débarrasse complètement de cet robe restant en sous vêtement sur le plancher en bois froid avant de me coucher entièrement sur le sol, si je ne deviens pas sa femme Élisa mourra et emmènera avec elle la joie que nous portions tous auparavant, sa mort nous anéantiras tous surtout ma mère qui elle à déjà perdus son mari, l'homme pour lequel elle aurait était prête à tout. Et maintenant elle allait perdre sa mère, son trésor...notre trésor parce que je ne me sent pas à la hauteur pour sacrifier ma vie pour celle de mon trésor . Mes yeux se noient dans mes larmes et je les fermes m'endormant dans la peur du futur...

Mes yeux s'ouvrant lentement, se faisant aveuglés par les rayons du soleil traversant les rideaux. Je me maudissais intérieurement de ne pas être morte durant mon sommeil, ça aurait était pourtant plus facile pour moi. Je soupire me levant difficilement du sol où j'avais passé la nuit me dirigeant à la traîne dans la salle de bain j'avais cet impression d'avoir ingurgités une bouteille de Tequila entière pourtant ce fût justes les paroles de Fernando de la veille qui me rendit nauséeuse.

Je posa mon regards sur mon reflet regardant les quelques larmes coulés le longs de mes joues la femme que je voyais dans le miroir...celle qui avait laissé son mascara coulés dût à la souffrance qu'elle endure, était la réel femme que je suis celle que j'enferme au plus profonds de moi, qui n'a pas le droit de se montrés en public pour ne pas attirés les regards de pitié sur elle, cette femme là qui souffre parce que la femme qu'elle admire tant ce trouve dans un profond sommeil entre quatre murs blancs depuis maintenant 9 mois.

Je sentis ma pression baissé et entra rapidement dans la baignoire ne prenant pas la peine d'enlever mes sous-vêtement, je laissa l'eau glacé remplir la baignoire alors que je me fît toute petite. Je ferma les yeux et les images d'hier ou Fernando me disant qu'il payerait les soins ainsi que l'opération de ma grand-mère si j'acceptais d'être sienne resurgissent dans mon esprit alors que je plonge ma tête sous l'eau, durant quelques instant essayant d'oublié le moindre de mes soucis mais cela paraissait juste impossible à réaliser. Je sortis de la baignoire l'esprit remplis de crainte puis enroula mon corps dans une serviette, j'enleva mes sous-vêtement mouillés puis entra dans ma chambre.

Je mis de nouveaux sous-vêtement dont le soutiens gorge ne s'accordait même pas avec la couleurs de mon string, je soupire n'ayant pas la tête à ça avant de m'habillé d'un jean bleu ciel retrousser en bas et d'un sweat blanc je mis des sandales blanches avant d'attachés mes cheveux à la vas-vite j'enfile mes lunettes mouches noirs pour cachés mes yeux bouffis et ne prends pas la peine de me maquillé. Je prends mon sac Mk blanc puis mes clés et sort de mon appartement pour prendre le bus en direction de l'hôpital.

Lorsque j'arrive sur les lieux je pars directement dans sa chambre, puis je m'approche de son lit m'essayant à ses côtés. Je sourie en la voyant elle à l'air d'être juste endormi dans un sommeil paisible,j'emmêle avec douceurs mes doigts aux siens tandis que mes larmes roulés le long de mes joues, j'aimerai qu'a cet instant précis ses petits yeux dont j'ai hériter de sa couleurs noisette, s'ouvre en étant éblouie par la lumière traversant les stores. On nous à plusieurs fois dit que nous nous ressemblons.

- Élisa, si tu savais à quel point tu me manque à quel point tu nous manque, rien n'ai plus pareille sans toi...absolument rien. Dis-je entre plusieurs sanglots

Si elle meurs tout changera, maman tels la connaissant retombera dans une profonde dépression, Diana elle pleura toute les nuits en se plaignant de ne pas avoir passé assez de temps avec elle et sera sans doute affecté par le fait qu'elle ne soit pas là le jour de son mariage et moi je vivrai dans la culpabilité et dans le remords de n'avoir pût rien faire pour la sauver et je ne veux pas .... Je ne veux pas la regardé partir et regardé ma famille se détruire, je soupire de frustration avant de reposé mon regards sur elle, je sert fortement sa main et qui à l'air tellement fragile.

- Je ne veux pas que tu partes... Je...je te promets que dans quelques jours tu sera éveiller et que tu reprendra goût à la vie. Dis je en larmes tout en suffoquant avant de reprendre. Car je vais accepter le dilemme de Fernando.

The sound of your soulOù les histoires vivent. Découvrez maintenant