- Chapitre 6 -

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Après la fin de la bataille du SCA, je suis allé à l'hôpital et j'ai découvert que même si j'avais de nombreuses coupures profondes, rien n'était cassé. J'avais besoin de quelques points de suture sur mon front, mais à part ça, ça allait.

Le lendemain, il n'y avait pas cours donc les héros pros là-bas ont pu renforcer le système de sécurité. Je suis restée à la maison et je me suis reposée. Juste reposée.

"(T/p), ça va ?" demande ma mère de sa voix douce et les yeux remplis d'inquiétude.

"Ouais, je vais bien Maman. Ne t'inquiète de rien. Je n'ai pas mal, je suis juste un peu fatiguée.", je mens.

À vrai dire, tout était douloureux et j'étais super fatiguée, mais je n'avais pas besoin que ma mère s'inquiète plus qu'elle ne l'est déjà. Elle tient beaucoup trop à moi. Je souris. J'ai vraiment de la chance d'avoir de si bons parents.

"Maman, je vais aller faire une petite sieste mais si tu as besoin de moi n'hésite pas à me réveiller", dis-je.

"D'accord, ma chérie. Repose-toi " dit-elle en me souriant en retour.

"Merci."

Je pense qu'il était environ 17 heures quand je me suis endormie mais quand je me suis réveillée, c'était le lendemain matin.

Je dévale les escaliers.

"MAMAN, J'AI VRAIMENT DORMI PENDANT 15 HEURES ?" je demande sous le choc.

"Ouais, tu devais être très fatiguée (T/p).", dit-elle.

"Non seulement ça, je suis en retard ! ET OH MON DIEU AUJOURD'HUI C'EST LE FESTIVAL DU SPORT. Comment se fait-il qu'un jour où je dois me lever tôt je me réveille aussi plus tard ?! C'est le jour où je ne devais surtout pas être en retard !" je marmonne pour moi-même.

Je retourne dans ma chambre, mets mon uniforme et redescends les escaliers.

"(T/p), tu ne devrais pas aller à l'école avec toutes ces blessures... Enfin bon, c'est ce que je veux dire en temps que mère mais je sais à quel point tu attends avec impatience le festival de sport", dit ma mère.

Je ris et la remercie. J'avale mon petit-déjeuner et me précipite vers la porte.

"N'en fais pas trop, chérie, je m'inquiète toujours pour toi," dit ma mère, "Mais à part ça, bonne chance et amuse-toi bien!"

Je souris. "Ne t'inquiètes pas ! Regarde-moi depuis la télé, d'accord ?"

"Je le ferai.", répond-elle.

Je cours jusqu'à la gare et je prends le train pour aller à l'école.

"Les festivals sportifs commenceront dans 2 heures, vous êtes donc libre jusque-là. Utilisez bien votre temps", déclare Aizawa-sensei.

"Euh, auriez-vous peut-être un petit conseil à nous donner ?" je demande, sachant pertinemment que notre professeur ne répondrai pas.

"Non. Travaillez dur. Tout ira bien. Bonne chance les gars, si vous y croyez", dit-il.

Je transpire. "Je savais qu'il ne nous donnerait pas de conseils, pourquoi ai-je même demandé?" Je pense.

J'ai décidé de faire quelques étirements, de manger quelques barres énergétiques et de me reposer tout simplement. Je ne voulais pas gaspiller d'énergie si je n'avais pas à le faire.

Juste avant le début du festival sportif, Todoroki et Midoriya se défient. Enfin, c'est plutôt Todoroki a défié Midoriya et il a refusé d'être abattu. Puis, Bakugo est entré. Ouais. Il était triste que Todoroki parle à Midoriya et pas à lui.

Flaming ~ [ShotoxReader] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant