chapitre 20

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Ce s'est passé un jour de fortes neiges. J'étais frigorifié, incapable de faire le moindre mouvement. Je me disais que mon heure était venu, ainsi, je ferma les yeux j'attendais, presque avec impatience ,ma mort . Je me disais qu'une fois au paradis les choses irait mieux, mais je riais toujours à cette pensée, car avec tous les vols que j'avais commis j'irai sûrement en enfer . Au moins je pourrai revoir mes parents et leurs foutre le coup le plus violent que petites pouvaient infliger.je sentai alors l'instant fatidique approché , me remémorant d'à quel point ma vie fût pitoyable, triste et dénué de tout sens. Quelque part, la mort était peut être la chose que souhaitais le plus ?...

Soudain, j'entendis une jeune femme s'ecriér

- Au mon dieu !! Tu va bien ?!

J'ouvris alors les yeux et je l'aperçu une jeune femme au cheveux aussi noir que l'onix et chaudement habillé . C'était Carla. Malgré ses paroles, je ne le lui porta aucune  attention car pour moi il était inconcevable qu'une personne comme elle puisse m'adresser la parole.

Mais à mon étonnement elle insista encore et je me rendu compte que c'était effectivement a moi quelle parlait.

- mais qu'es ce que tu fais tout seul dehors !? Elle demanda droit dans les yeux,  inquiète.

J'étais hébété , personne ne m'avait encore regarder dans les yeux, ils les voyais mais ne les regardait pas . Même, personne ne s'était encore inquiétez pour moi , les rares fois où on m'adresser la parole c'était pour m'insulter. À vrai dire , malgré son apparente bonne foi je restais méfiant .

- où sont tes parents ? Elle me demanda tendrement .

- je...j'en est pas .

Son expression changa alors .

- tu dois avoir faim , attend ici , je vais aller t'acheter à manger  . Elle fit , paniquée . Mais avant, tiens . elle fit en me donnant son pull , avant de s'en aller.

J'étais mitigé , quelque part j'étais heureux car c'était la première fois qu'on faisait preuve de gentillesse à mon égard . Cependant , pour moi elle avait dû croire que j'étais juste un enfant égaré et a dû vouloir m'aider mais quand elle à appris la vérité elle s'en est allé non sans me laisser son pull pour se donner bonne conscience. C'est comme ça que j'avais interprété les choses.

Alors je me couvrir avec son pull et retourna à mon occupation : attendre la mort . Je me consolait en disant que j'avais pû parler à quelqu'un avant ma mort....

Déjà à l'époque j'avais l'ouïe fine . Ainsi dans l'attente de la faucheuse , j'entendis des voix non loin de là . Je reconnu la voix de la jeune femme . Après tout, ce n'était pas un quartier très fréquentable et nous étions en pleine nuit alors ce n'était pas impossible qu'elle se fusse agressé .
Mais peu importe , désormais j'étais un mort en sursis alors à quoi bon
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Pourtant.... je puisait dans mes dernières forces et couru jusqu'à l'origine des bruits . Je courais encore et encore, difficilement à cause de la neige . Plus j'approchais plus j'entendais leurs conversations .

- lâchez moi !! Prenez mon sac si vous voulez , mais laisser la nourriture , elle est destinée à un pauvre enfant.

Je n'en croyait pas mes oreilles . Je redoublait alors de vitesse et j'arriverai sur le lieu de l'agretion .

La femme me vu .

- va t'en , c'est trop dangereux ici !!! Elle s'exclama .

- ouais c'est ça , casse toi !!! Tu vois pas que les grands s'amusent ?! Répliqua l'agresseur.

C'était un SDF du coin . Il l'avait empoignée et essayer de  lui voler ses affaires et plus.

- LÂCHE LA !!!!! je criais de toute mes forces.

- va t'en peti-

- TOI TU LA FERME !!! Et toi petit , qu'es ce que tu va me faire si je ne l'a lâche pas, Hein ?

- ce que je vais faire hein ?

Je courus vers lui avant qu'il ne s'en rend compte et lui mordi la cuisse avec toute la force qui me restait.
Il hurla de douleur et la lâcha sur le coup . Par contre, j'eu droit à un violent coup de pied Dans le ventre qui m'envoiya valser quelques mètres plus loin.

- p'tit bâtards !! Tu va voi- AHHHHHHH !

- hein ?

Le SDF s'était effondré. En effet , Carla avait sorti un taser de son sac et l'avait électrocuté avec . Avant de se précipiter vers moi . Je ne pu distinguées que sa silhouette tremblotante avant de m'évanouir .

Je ne sais combien de temps plus tard , mais je me réveillait dans un lit moelleux avec à mon chevais la femme de toute à l'heure . À peine eu je le temps de me redresser qu'elle me pris dans ses bras et commença à pleurer .

- Dieu merci .... Tu vas bien . Fit elle en me servant force dans ses bras .

Pour la première fois de ma vie je ressentais la chaleur d'une mère . C'était ... Indéscriptible . Je me me mis à sangloter moi aussi . Nous restame comme ça durant un bon Moment.

seulement une fratrie ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant