ton passage dans mon récit m'a laisser un goût amer à celle de l'eau salé qui s'abat sur le sable chaud un mois d'août.
Tu as déposé sur mon lit de nombreux coquillages qui resteront à jamais gravés en moi.
Pourtant je t'avais prévenu que la météo était bonne de mon côté, mais tu as quand même réussi à installé un temps pluvieux entre nous jusqu'à que le soleil s'en aille à tout jamais.
Mais tu as réussi à rallumer la flamme comme le feu de bois que t'allumais cet hiver là. Je suis resté de peur de ne plus te retrouver à cause du brouillard qui stagnais autour de nous, en sachant pertinemment que cette saison là serait remplie d'obstacle.
Je suis devenue une feuille morte que l'on trouve posé sur la route, cachée, apeuré par l'angoisse de ne pas savoir comment partir où se relever de ton vent qui m'a laissé inerte.
Mais tu as commencé à chanté comme les oiseaux ce qui m'a permis de rester à ta branche encore un petit moment et comme à ton habitude tu as pris ton envole.
Finalement j'ai peu découvrir tous les éléments de la nature regroupés en une seule ère ce qui m'a permis de tracer une route dégagée qui a fondu mon coeur.
Vivre les 5 saisons m'a semblé une éternité avec toi pourtant lorsqu'elles sont joués seulement 40 minutes sont écoulés.
T'es paroles bougent dans ma tête comme la terre dans laquelle nous nous sommes rencontrés, une terre qui a finis par s'arrêter de tourner comme le disque ressassant les dernières mélodies du concerto.
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Voir le monde brûler
PoetryDes minis poèmes qui m'ont permis de laisser ma plume se libérer de son talent.