Au travail 3.1 : Le trajet

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Julie conduisait sa voiture à travers la ville, tandis que sa soumise, assise à côté d'elle, était anxieuse et mal à l'aise. Les yeux baissés, elle se sentait vulnérable et exposée sous le regard dominateur de Julie. Elle savait que Julie était capable de tout, et que cette sortie en voiture était probablement le début d'une nouvelle expérience. Cette dernière, quant à elle, se sentait puissante et en contrôle, savourant l'idée d'avoir sa soumise à ses côtés, obéissante et docile.

Le trajet était relativement court, mais le silence pesant qui s'installa entre elles était plus long que le temps réel. La soumise se demandait ce que Julie avait en tête, mais n'osait pas lui demander. Elle avait appris à ses dépens qu'il valait mieux ne pas poser trop de questions, et qu'il fallait se soumettre aux désirs de sa maîtresse.

Puis Julie commença d'une voix calme et posée :

"Nous allons bientôt arriver à ton lieu de travail, ma princesse".

 "J'espère que tu te comporteras bien en mon absence et que tu feras tout ce que je te demande" ,un petit rire au coin de la bouche.

La soumise hocha la tête, la gorge nouée, sachant que Julie n'accepterait aucune excuse pour un manque d'obéissance. "Bien sûr, Maîtresse. Je ferai tout ce que vous me demandez."

« Tu es tellement mignonne quand tu es embarrassée, » dit-elle d'un ton condescendant, tandis que la soumise baissait les yeux, se sentant minuscule et vulnérable.

Malgré cela, Julie avait toujours une touche de douceur dans sa voix, une fierté évidente dans la façon dont elle parlait de sa soumise. Elle avait une manière de mélanger la domination et la tendresse qui rendait la soumise confuse, incapable de savoir comment elle devait réagir.

La soumise se demandait ce que Julie avait prévu pour elle, tout en essayant de garder son calme. Elle savait que tout ce qu'elle devait faire était de rester en contact avec sa maîtresse et de faire tout ce qu'elle lui ordonnerait. Mais ce n'était pas facile avec un tel système de stimulation électrique qu'elle sentait contre sa peau.

Julie sourit, satisfaite. "Parfait. Maintenant, parlons un peu de tes finances. J'ai remarqué que tu as quelques problèmes d'argent en ce moment. J'aimerais gérer tes comptes pour toi, pour t'assurer que tout est en ordre."

La soumise tressaillit, sachant que c'était une demande risquée. Elle savait que Julie était ambitieuse et implacable, et qu'elle pourrait utiliser cette opportunité pour la contrôler encore plus. "Je... Je ne sais pas, Maîtresse. Je n'ai pas vraiment besoin d'aide..."

Julie la regarda, un sourcil haussé. "Tu n'as pas besoin d'aide ? Tu es en train de me dire que tu n'as pas besoin de moi ?"

La soumise baissa les yeux, réalisant son erreur. "Non, Maîtresse, je ne voulais pas dire ça. Je suis désolée."

Julie laissa planer un silence quelques instants avant de reprendre d'une voix plus ferme : "Donc en ce qui concerne la gestion de tes comptes, je veux m'en charger. Je veux être sûre que tu n'es pas tentée de dépenser l'argent de manière irresponsable."

La soumise baissa les yeux, se sentant un peu vexée, mais elle savait que la parole de sa maîtresse était sacrée. "Bien sûr, Maîtresse. Comme vous le souhaitez", répondit-elle doucement.

« Et je suis sûre que les clients de ta société de livraison apprécieraient de voir une petite soumise comme toi travailler pour eux, » ajouta-t-elle avec un sourire malicieux, faisant grimacer la soumise.

Finalement, la voiture s'arrêta devant la société de livraison de la soumise. Julie se tourna vers sa soumise, un sourire mystérieux sur les lèvres.

« J'ai une surprise pour toi quand nous rentrerons ce soir, » dit-elle d'un ton taquin. « Nous aurons des invités, alors assure-toi d'être bien sage et obéissante. »

La soumise acquiesça en silence, la peur et l'excitation la submergeant. Elle ne savait pas à quoi s'attendre, mais elle avait l'impression que cette soirée serait mémorable.

Elles sortent de la voiture et Julie enlace tendrement sa soumise, la pressant contre elle. Elle griffe légèrement la main de sa soumise, savourant la sensation de pouvoir laisser sa marque sur sa peau douce.

Un frisson parcourt le corps de la soumise, qui sent le désir de sa maîtresse s'exprimer de manière physique. Julie ne peut s'empêcher de frotter légèrement son jean contre sa soumise, la plaquant contre la voiture. La soumise se laisse faire, sachant que c'est la volonté de sa maîtresse, mais elle sent également une gêne grandissante en elle.

Les grelots attachés aux poignets de la soumise tintent bruyamment à chaque mouvement brusque, faisant sourire Julie avec une pointe de moquerie. Elle est heureuse de voir que sa soumise se sent mal à l'aise, car cela signifie qu'elle est en train de s'affirmer comme sa maîtresse et de prendre le contrôle sur elle.

Les grelots témoignent de la servitude de la soumise et de sa soumission totale à la volonté de Julie. La soumise, quant à elle, tente de marcher avec précaution, essayant de ne pas faire sonner les grelots attachés à ses poignets. Elle ne veut pas que les gens autour d'elle découvrent son secret et se moquent d'elle.

Mais la tâche est difficile, car chaque mouvement engendre un bruit métallique qui trahit sa condition de soumise. Elle sent le regard des passants se poser sur elle, mais elle se force à garder la tête haute et à afficher une assurance qui n'est qu'apparente.

Les Fantaisies de JulieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant