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Lorsque je me réveil, je me vis dans une pièce blanche

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Lorsque je me réveil, je me vis dans une pièce blanche . Je fronce les sourcils et baisse la tête. Un lit d'hôpital et une chambre d'hôpital...S'entend un poids sur mon bras, je tourne la tête et souris immédiatement face à la bouille d'ange du garçon dont j'ai toujours été amoureuse. Il était endormi et sembler avoir du sommeil à récupéré au vu de ses énormes cernes. De l'autre côté du lit, se trouver mon jumeau endormi également et face à moi, se trouver Malena ainsi que Madelyn qui dormait sur une chaise.

Ne voulant pas les réveiller, j'attrape la télécommande et appel une infirmière. De longue minute plus tard, c'est Melissa qui ouvre la porte. Dès quel me vit, elle me prit immédiatement dans ses bras, heureuse de voir que j'allais bien

Melissa : Tu m'as tellement fait peur ma puce ! J'ai cru que tu était morte ! Puis Eli était le seul à entendre ton coeur battre.

— Comment c'est possible ?

Melissa : Deaton viendra t'expliquer.

— Hum...D'accord mais ça fait combien de temps que je dors ?

Melissa : 2 semaines.

— Sérieux ?

Melissa : Oui, tout le monde n'a cesser de te rendre visite. Ta chambre était toujours pleine à craquer !

Je souris et acquiesce. Elle vérifie que je n'ai rien puis me sourit grandement.

Melissa : Je vais prévenir les autres. Tu devrais les réveiller, ils veillent sur toi chaque jours.

— D'accord, à tout à l'heure.

Elle me fait un bisou sur le front et sort. J'entreprend alors de les réveiller et une fois tous debout, ils me sautent littéralement tous au cout.

Malena : Tu sais...on a vraiment cru que...que tu était morte.

James : D'après Deaton, c'est même un miracle que tu ne le sois pas...

Eli, lui, rester silencieux.

— Je vais bien, ne vous en faite pas.

Eli : Tu était presque inanimé dans mes bras...

Madelyn : Je ne te connais pas beaucoup mais t'es devenu quelqu'un d'important pour moi. Tu ne m'as pas juger, même quand je t'ai dis qui était mes parent...

— Je ne vous abandonnerais pas d'accord...je resterai là. Apparement, je suis assez solide pour survivre à un sabre géant donc bon, dis-je pour détendre l'atmosphère. Et sache Madelyn que je ne suis pas le genre de personne qui juge quelqu'un parce qu'il a tel ou tel parent. Tu n'a pas choisis de les avoir pour parent.

Elle me sourit, reconnaissante.

— Tous les autres vont bien ?

Ils se lancent des regards avant de m'observer.

LOVE - eli haleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant