gueule de bois et engueulade

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Quand j'émerge enfin il fait presque jour

Je suis dans le noir le plus total ou un silence reposant m'entoure, allongé sur un matelas bien ferme et confortable, mes mains parte a l'aventure sans mon autorisation en tatonnant tout autour et a en juger par l'espace sans fin, c'est grand, très grand car même mes pieds touche pas le bout du lit, pourtant je suis grande pour une femme 1m79 je crois.

Une douleur cuisante me vrille la cervelle et c'est franchement très désagréable, alors que j'essaie de me situer en me demandant comment j'ai réussi a atterrir ici j'en ai aucun souvenir, je me rappelle de presque rien a part mes amis et la soirée qu'on a passé ensemble mais c'est encore flou.

__ oh putain ma tête me dis-je quand douleur s'accentue la main sur le haut de mon crâne.

Sa pulse derrière mes oreilles, comme une batterie qui bat frénétiquement sur ses tomes, je me force quand même a réfléchir et rien que sa me demande beaucoup d'efforts, se qui déclenche la pire douleur du monde,elle est juste insupportable. au bout de 10 minutes de réflexion chaotique je continue a forcer mes souvenirs en cogitant mais c'est le bazar la haut tout est emmêlé, mes souvenirs ressemble a de la bouillie pour bébé ou a un mauvais tripe d'une droguée,il viennent petit à petit et repart dans un tourbillon sans fin , mon estomac s'invite a la souffrance de mon crâne, me rappelant a mon bon souvenir en remontant et descendant telle un naufragé sur un radeau en pleine mer déchaîner pour me faire comprendre que c'est loin d'être un rêve ,quand une image de moi me montre en train de payer la bouteille d'alcool mains tendu au dessus du comptoir . je me rappelle vaguement que j'ai bus et pas seul sa c'est sur avec une Maëlys déchaîner et puis le barman qui me tend une bouteille  pleine avec un sourire libidineux a mon amie. oh le bordel j'ai sérieusement déconner, j'ai pas put boire autant quand même... si . Sa me ressemble pas de boire comme ca. mais j'avoue pour une fois dans ma vie, quel délivrance j'ai ressenti hier sa je m'en souviens bien par contre et je regrette rien de se moment d'égarement, qui malgré ma souffrance d'aujourd'hui ma fait un bien fou, sa ma permis de sortir de ma coquille pour lâcher prise et oublier tout mes soucis et bon dieu que je me sentais bien, euphorique, légère. Jusqu'à un flash désagréable qui me montre...un paire de bottes noir de motos, merveilleux soupirais-je, ils étaient la oh puis merde a la fin ont assume .

J'arrive pas émerge totalement, même au bout d'un lapse de temps, les yeux au plafond d'un beige immaculée , la caboche douloureuse prit sous un trente-trois tonnes. Mais qu'es que j'ai foutu purée hier soir pour avoir mal comme ça a par boire. J'ai autant  consommer que sa, putain je me rappelle que de la bouteille, je sais plus combien de verre j'ai bus en faite, j'ai de vague souvenir de la soirée pour le moment ,sa me fait chier parce-que, je me rappelle de très peu de choses ,a part être allé en boîte avec Maëlys,samy puis john qui au demeurant n'avait pas l'air ravie d'y être. Je renfonce mon crâne dans l'oreiller douillet et moelleux, glissant une main dessous et tilt agacé de ne pas me souvenir d'être arrivé dans cette piece et un vague coup d'oeil me soulage de la vu, car je suis dans ma chambre .

Des flash arrive par bride et me coeur se compresse d'une émotion  douloureuse, je me sent vraiment pas bien.

Je revois la scène  quand je paye le barman, la bouteille a laquelle je bois allègrement en la passant a Maëlys qui ne s'en prive pas pour avalé le reste de la bouteille. Ah oui je rit en grimaçant de douleur,je me rappellant la scène des toilettes, rooh sérieux ont n'a fait n'importe quoi en me rappelant Maëlys crier au feu pour faire déguerpir les femmes, qu'est-ce que j'ai rit et ma chute au sol quand  elle a crier prise de dépourvu, je dévrais me sentir gener pour sa, la honte sérieux . dans qu'elle état je me suis mit je pouffe en serrant ma tête entre mes deux mains,quand une vilaine douleur secoue mon cerveau bien imbibé refaisant remonter la bile dans ma gorge .

 Et Pourquoi pas Où les histoires vivent. Découvrez maintenant