Helldrish Family : Une famille diablement tragique.

Chapitre III - Le début d'une nouvelle ère.

[Note de l'auteur : Bonjour/bonsoir/BONJOIR mesdames messieurs sachez que pour votre information j'envisage de faire en parallèle de cette histoire une petite annexe avec un autre narrateur, mais je verrais d'abord si cette histoire a du succès avant de lancer ce projet, donc dites moi ce que vous pensez de l'idée et je verrais quoi faire ! Sur ce, bonne lecture. Au fait, p't'être que ce chapitre sera coupé en deux parties mais ça vous verrez quand vous y serez.]

Et ben, vous avez l'air en forme aujourd'hui. C'est grâce à quoi ? Mon hôtel ? Heh, bon reprenons.

Je vais abréger un peu, étant donné que le plus intéressant n'est pas de mom vivant. Donc pour faire court et réduire cet arc narratif au minimum, un jour, lors de mon propre anniversaire, j'avais organisé une belle petite fête dans les locaux de mon entreprise florissante !

Mais il y eu un pépin inattendu... un de mes employés a décidé de me prendre appart... et puis, ben... le dialogue parle de lui-même :

"Pourrais-je savoir pourquoi vous m'avez demandé un entretien privé, Mr. Jones ?"

-Oui Mr. Helldrish, je suis désolé de vous dire ça mais j'ai de fortes impressions que, depuis la mort de votre femme, vous soyez un peu... différent. Ai-je raison ?

Attends... comment il sait ce qui s'est passé aux funérailles ? Il était pas là pourtant, lui. Bon, je me calme et réponds tranquillement sans vraiment agir de façon suspecte.

"Un peu différent ? Oh, je vois... vous n'approuvez pas que nos robots servent autant la population que ce que l'on en fabrique pour l'armée, c'est ça ?"

-En effet... c'est, euh, ouais c'est ça, répondit-il, un peu déboussolé par ma réponse. Mais j'aimerais savoir autre chose, monsieur.

-Et qu'est-ce donc ?

-Vous savez, lors de vos funérailles, mon frère, Gary, était venu vous voir et après l'avoir déposé je ne l'ai revu que mort... vous savez ce qui lui est arrivé ?

Et merde... bon, certes avec tout ce que j'ai vendu à l'armée, j'ai dans tout les cas du sang sur les mains. Mais je ne m'attendais pas à reparler de cette "interaction sociale" de mon vivant.

C'est ainsi que ma voix commença à être tremblante et que je commença à paniquer. Donc je répondis simplement : "C-comment ça ? Vous... vous osez m'accuser de ce genre de barbaries ?! Ha ! Vous rigolez, n'est-ce p-pas ?"

-Vous m'avez l'air vachement paniqué pour quelqu'un qui n'a rien à se reprocher.

-Heh, je vous trouve fort fatrouilleur, cher ami !

Il soupira puis repris : "Monsieur, il s'agit de mon frère, la police n'en a rien à faire et j'aimerais savoir si vous avez vu quelque chose."

-Écoutez, il y a des choses qui ne s'explique pas. Je n'ai rien vu et je pense même que vous essayez de comploter contre moi soudainement. Donc évitez de vous mesurer à quelque chose qui vous dépasse.

Il fut conquit par la rage après mes paroles et se mis à me frappé avec toute ses forces, ce qui me fis reculé à plusieurs reprises avant d'être dans une sorte d'impasse. En effet, j'étais bien parti pour soit sauter dans une cuve de métal liquide chauffée à plus de 155ºC soit de me faire briser d'autres de mes 194 os restants sur les 206 initiaux à cause de ce taré.

Ainsi, avant de faire une des plus grosses stupidités de ma vie, je ne pus m'empêcher de dire à mon interlocuteur une phrase très sympathique : "Vous pouviez pas attendre que mon anniversaire soit fini pour venger votre frère ?"

A l'entente de ces paroles, il fonça sur moi et anticipa mon esquive, ce qui fit qu'il me poussa dans la cuve et je fis tué, lentement, en feu... à hurler à m'en rompre les cordes vocales, au point où j'en étais, j'étais plus à ça près.