~Chapitre 3~

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Il chuchotait alors sa voix m'étais impossible à reconnaître.

-S'il vous plaît, dîtes moi qui c'est au moins..
-Pour le moment non, c'est plus excitant comme ça~

Je ne parlais plus, le dégout revenant peu à peu. L'homme derière moi lâcha ma tête et caressa mes épaules puis mon dos, descendant petit à petit vers mes fesses.

-J'ai appris de Rindo que tu suces bien, moi j'aimerai bien savoir si tu prends bien~

L'homme embrassait mon cou tandis que ses mains parcouraient mon ventre jusqu'à mes seins. Une fois ces dernières arrivées à ma poitrine, il les malaxait, pincant à plusieurs reprises les bouts de chaire.
Il pressantes le bas de mon corps au sien, me faisant remarquer son érection.

-Tu sens l'effet que tu me fais, t'es si sexy dans la douche~

Des soupirs se faisaient sentir dans mon cou. es mains continuaient son travail sur mes seins alors qu'il continuait de presser sa bite contre mon trou sans rentrer pour autant.

-Tu peux me parler tu sais, je ne vais pas te manger.

Je répondit rien, j'étais tant dégoûtée que je ne voyais plus rien, tout étais flou. Aucune émotion traversait mon visage, je partait dans une situation où je ne réagissait à rien. Sans me prévenir ni même me préparer, il rentra sa bite en moi, étirant ma chatte. L'homme bougeait violemment, ne se souciant pas de la douleur. Les larmes vinrent au creux de mes yeux sans couler pour autant.

-Tu peux me regarder maintenant, je t'autorise.

Je tournai la tête, faisant face à l'homme entrain de me marteler. Les premiers détails que je vis fit ses cheveux roses et ses cicatrices de chaque côté de son grand sourire.
Aucunes réactions ne me vont à la vue de son visage. La seule chose que je ressentais était du dégout.
Après des coups de reins bien placés, le plaisir commença à apparaître. Le rose touchais maintenant ma prostate à chaque à-coups. Des gémissements s'échappaient de ma bouche sans les retenir.
Je vis son sourire face à ma réaction. Mes gémissements devenaient de plus en plus forts, ses coups sur ma prostate me donnant plus de plaisir que je ne le voulait. Il approcha sa bouche de mon oreille.

-Tu prends si bien ma bite, si serrée~

Ses coups devenaient de plus en plus bâcléset je sentais sa longueur se crisper en moi. Après quelques coups de plus, il se déversa en moi dans un gémissements.
Sans même m'offrir ma libération, il se retira de moi.

-Je viendrai te baiser plus souvent, tu es très douée.

Aucune réponse ne sortait de ma bouche, je me haïssais d'avoir ressentit du plaisir. Une fois que le rose fut partit, je m'écroula sur le sol, ne tenant plus sur mes jambes.
Je me recroquevilla sur moi même, l'eau brulante coulant toujours du pommeau de douche. Mes larmes se mélangeaient au liquide claire. Après peut-être 20 ou 30 minutes, je sorti de la douche, mettant seulement un peignoir.
Je m'allongea sur le lit, tête contre l'oreiller et pleurais. Je pleurais encore tellement, le dégout prenant possession de moi. Comment pouvais-je être arriver à ce stade? Comment c'était possible?
Les larmes coulaient sans retenue, j'étais morte intérieurement, il m'ont touchée, violée, qu'allaient-ils encore me faire?..

Après avoir pleurer tout ce que je pouvais, je me mis sur le dos, regardant le plafond, me perdant dans les pensées. Maintenant que je suis morte de l'intérieur, qu'es ce qui m'empêcherai de mourir de l'extérieur? Je ne pourrai sûrement jamais reparler à ma famille et à mes amies, je suis seule, enfermée par des mafieux qui me tueront dès qu'ils ne voudront plus de moi.
Es ce que, actuellement, la mort ne serait pas une délivrance? Je me sens sale, ils m'ont touchée, avides de désir et ce ne sera sûrement pas la dernière fois. Je ne pourrait jamais rien faire pour les en empêcher et devrais les laisser faire.. Pourquoi c'est à moi qu'ils ont demandé, je suis sûre que pleins de prostituées auraient été heureuses de n'être qu'à eux. Parce qu'on ne va pas se mentir, ils sont vraiment beau, tous autant que les autres. Ils ont beau être des gens horribles et antipathiques, on ne peut pas leur enlever leur charisme. Ils doivent en faire tomber des femmes, je le parierai. Mais moi, jamais, après ces deux jours traumatisants ou ils n'ont fait que me séquestrer et me violer, jamais je ne tomberai sous leur charme.

Love? Really? It's Only Fucking Sex [Bonten X Reader]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant