12. Caleb

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Moi : comme tu veux moi je ressors Aprè du coup. Je fermerai la porte à clef et t'inquiète pas si je suis pas revenu d'ici demain matin...

Mon ton était assez froid et méchant trahissant mon agacement. Bah quoi? Il osait me faire quitter la soirée pour se coucher. Moi je veux pas me coucher mais COUCHER! Vu la passion de nos baisés j'ai cru que en rentrant on aurait peut etre continuer. Putain d'hetero ! Je les haiiiiis. Faux espoirs de fou ! Comment j'ai pus croire qu'il en avait quelque chose à foutre. Je suis pas une femme de toute fqcon.

Mon regard se repose sur sa main. Comment il avait fais ça ? Je m'inquiètes pour lui tellement qu'il m'obsède ça en est ridicule.

Moi - t'as main ça a l'air douloureux. Tu veux aller aux urgences voir si c'est pas cassé? Sinon met de la glace en rentrant.

Alexander : non ça ira, ce n'est rien

Son regard fixé sur la route je me rendis compte que je perdait mon temps à discuter avec lui. Je pose ma tête contre la vitre froide de sa voiture et fini par plonger dans les bras de morphée après toutes ses émotions. Je fu reveiller par la voix d'alexander sans trop discerner le sens de part mon esprit encore embruée par le sommeil. Sa voix grave je pourrai la reconnaitre entre mille. Je ne sais pas ppurquoi mais je n'ouvrit pas les yeux peut etre pour voir ce qu'il allait faire.

Alexander -il est fatigué ça se voit. Mais non...il veut baiser quel idiot

Puis je sentis le contact doux de sa main sur ma joue. Il me caresse la joue..tendrement. Alexander Miller a un acte de tendresse envers moi. C'est quoi ce bordel...

Je ne vais peut être pas sortir finalement.. sa main est douloureuse je le sens car j'entends sa respiration être un peu plus saccadé. Je resta comme ça les yeux fermés faisant semblant de dormir jusqu'a notre arrivée à l'appartement. Une fois garée je fis mine de me reveillé.

Moi -je me suis endormi? Mince. Dis je avec mon meilleur jeu d'acteur

Je sentis son regard sur moi. Il etait en colère. Parce que j'avais dit que je ressortais? Il serait jaloux de savoir que je couche avec quelqu'un d'autre..? Quel idiot il comprends pas que je suis rentré avec lui sans avoir rien fait avec d'autre car c'est lui qui hante toutes mes pensées et me fascine. Sa voix , ses yeux tout me rendait fou.... fou ..fou de lui. Je ne comprends pas ce qu'il attends de moi. Il me demande d'etre clair mais lui ne l'es jamais. Je sentis que sa main le genait quand il la posa sur mon siege s'approchant de moi. Il doit avoir mal cet idiot mais ne veux rien me dire. J'ai pas l'impression que quelqu'un d'autre été blessé alors qui est ce qu'il a frappé et pourquoi? Il etait proche de moi dans la voiture se penchant dans ma direction en ne me lachant pas du regard. Il va m'embrasser.?! les battements de mon coeur s'accelèrent à toute vitesse puis.. il détacha ma ceinture.

Putain c'etait chaud...j'ai cru qu'il allait m'embrasser... je ne montra pas ma déception car je ne voulais pas perdre face à lui. Je n'osait cependant pas sortir de la voiture. Il ne me regarde pas. Il fuit mon regard c'est certain. Mais pas mes lèvres sur lesquelles il reste fixé et interdit. Je dois donc lui plaire physiquement du moins. Mais il est aussi évident qu'il ne veut pas coucher avec moi. Parce que je suis un garçon sûrement... je déteste ce corps putain...

Moi - je ne sors pas ce soir... on monte ou on reste là?

Je sais pas ce que je veux qu'il fasse mais j'aimerai savoir sa reaction à l'idée que je veuille rester avec lui plutôt que d'aller avec un autre homme. Se sentira t-il flatté ou sera t- il indifférent comme d'habitude?

Il détacha son regard de mes lèvres à la fin de ma question comme réveillé de son état de trans. Il se décala de moi et sourit.

Alexander - charmante décision. Allons y.

Sur ces derniers mots, il ouvrit la portière et sortie du véhicule. Je fis de même et le suivi jusqu'à notre appartement.

Une fois dans l'appartement je déposa mon kimono sur une des tables du salon.

Caleb - pose ton cul sur le canapé. je reviens.. dis-je d'un ton autoritaire

J'alla dans ma chambre et revins avec une boite que je posa sur la table du salon et alla chercher un verre d'eau et de la glace au congélateur. Je m'assit près de Alexander qui me regardait avec incomprehension. Je pris sa main douloureuse et pose la glace enroulé dans un chiffon sur des phallanges douloureuses.

Je posa sa main sur ma jambe pour ensuite avoir mes mains libre afin de lui sortir un anti douleur. Que je lui tendit en face de sa bouche.

Moi - ouvre je vais te le donner.

Alexander: hors de question. Je prends pas ce truc.

Je me retiens de rire. Quel gamin je te jure celui là. Bon bah pas le choix. Je mis donc le comprimé dans ma bouche avec de l'eau et tira Alexander vers moi et je l'embrassa et lui donna le médicament par la même occasion. Autant allié l'utile à l'agréable non? Puis j'allais pas lui laisser le choix. Après cet "échange médical" j'écarte mes lèvres des siennes abandonnant ce contact magique qui me rendait

moi- tu t'es fais ça comment du coup? Parce que t'es vachement amoché quand même et je sais de quoi je parle je fais de la boxe thai depuis 10 ans.

Sa main sur ma cuisse s'était resserrée avec le baiser ce qui a du lui faire mal même si ce geste etait sûrement incontrolé et lié a l'exitation.

Je sentis une chaleur sourde prendre possession de mon corps et bas ventre. Je n'aurai pas du faire ça. Pourquoi est ce que j'aime autant le provoquer alors que je pourrai le laisser tranquille et l'oublier. Cette colocation est vraiment une catastrophe. Ça me fais réaliser en pleine face cette attirance pour lui. Je veux le sentir m'embrasser , gémir contre mes lèvres et ma peau , crier mon nom avec sa voix cassé par le désir qu'il n'aurait que pour moi l'espace d'un seul soir. J'aimerai occupé toutes ses pensés , ses désirs. Plus on restera ensemble plus je serai avide... ça ne fais que un jour qu'on habite ensemble et je dois tenir encore deux mois. Deux putains de mois d'après le mail que j'ai recu avant de partir. Je ne lui ai pas dit je sais pas pourquoi... Peut être que j'ai peur qu'il se dise que puisque je pars bienttot ça ne sert à rien de se rapprocher de moi comme il a fait pendant toute notre scolarité. M'éviter il savait très bien le faire mais dans un appart commun ca serait plus dur.

Alexander - qu'est ce qui t'as prid? T'es si en manque que ca?

Dit il avec sa voix suave en caressant ma cuisse d'une lenteur exquise. Nos visages sont très proches ...trop proches. J'ai envie d'être honnete mais je n'y arrive pas avec cet homme. Si je m'offre à lui c'est foutu... je me mordit la lèvre pour taire ce putain de désir qui s'eveillait en moi. Lui nu sur moi...oh putain... je reussi à articuler quelques mots.

Caleb- ..t..tu voulais pas ..prendre le Médoc. F..faut te soigner..

whatever we do Tome¹Où les histoires vivent. Découvrez maintenant