Je ne voulais pas mais je vais le faire pour tanti Oumou
Moi:D'accord je vais rester mais à une condition
Lui:je t'écoute
Moi:pour cette année que nous allons vivre ensemble je te demande pas de m'aimer mais de me respecter, on devra faire tout ce que les couples normaux font.
Je ne sais pas comment mais je pense que je commence à tombé amoureuse de lui
Lui:tout ce que les couples normaux font c'est-à-dire ?
Moi:on devras partager la même chambre, tu devras manger ce que je prépare pour toi, tu devras m'amener au restaurant, regarder un film, nous promener au parc, aller à la plage, prier ensemble tous les matins et pendant ce une année je veux pas te voir avec ta maîtresse ni dans cette maison ni ailleurs.
Lui: quoi mais c'est trop tout ça
Moi:si ça ne te vas pas tu n'es pas obligée je peux toujours partir
Lui:d'accord j'accepte tes conditions
Moi:mais on ne fera pas la chose hée
Lui:de quoi tu parle
Moi: tu sais bien ce que vont un homme et une femme
Lui:on ne fera pas l'amour tu veux dire
Moi:ne prononce pas toi aussi 🤭🤭🤭🤭
Lui:c'est toi qui a dit qu'on fera tout ce que font un couple marié donc on le fera😜😜😜
Et il est parti, j'espère qu'on le fera pas
Je vais appeler Salma pour lui dire ce qui s'est passé car elle s'inquiète beaucoup pour moiAppelle téléphonique
Moi:salut la future mariée
Elle: salut la déjà mariée
Moi: imbéciles, comment ça va et notre futur mari ?
Elle: il vas bien et notre crétin de mari
Moi:mais arrête ça toi aussi c'est mon mari après tout
Elle:n'empêche qu'il soit crétin
Et Je lui ai raconté ce qui vient de ce passé
Elle:bravo ma chérie là t'es tu est vraiment ma copine il vas te respecter maintenant tu vas voir
Moi:je l'espère bien
Elle:j'allais oublier notre mariage a été fixé pour le mois à venir je passerai chez toi pour qu'on en discute
Moi: d'accord à plus alors
Elle: ok merci
Et je vais aller nous préparer quelques choses à manger, aujourd'hui c'est dimanche donc personne ne sors.
VOUS LISEZ
Mon mariage arrangé
RomanceMon mariage arrangé avec Khalil Je vous invite à lire mon histoire Totalement fictifs Nouvelle chronique