Héro [Michael]

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N/A : PREMIÈRE COMMANDE! WAAHOO!

Voici ton imagine, ma belle.

On te remercie de nous avoir fait l'honneur de la toute première commande.

On espère que tu apprécieras cette imagine, choubina!

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Je regardai au loin mes amies danser comme des défoncés sur la piste de dance aux côtés de mecs que je n'ai jamais vu et sans doute qu'elles ne connaissent pas non plus. Je m'assis sur une des chaises hautes en face du bar et je soupirai en me craquant le cou.

Je regardai autours de moi dégoûtée et épuisée de ces genres d'endroit. Qu'est-ce que mes copines trouvaient d'aussi génial ici? La musique est tellement forte qu'elle faisait vibrer mes tympans, de plus de cette ignoble manière que les gens ont de se frotter les un contre les autres au rythme de la musique.

Si c'est pour me plaindre, qu'est-ce que je fiche ici? Aucune idée, mes copines me traînent de force tous les weekends à venir trainer dans cette boîte à nuit, alors que je pourrais être tranquille chez moi en écoutant la télévision et en savourant une bonne pointe de pizza, soit disant que je me ''renferme'' depuis quelque temps. Ce qui est totalement absurde.

En regardant à ma gauche, je remarquai un homme, pas si moche si on y pense bien, qui me dévorait du regard comme un morceau de viande, ce qui je trouvai très déplacer de sa part. Que suis-je, moi, pour me faire regarder de cette manière? J'espérai de tout mon âme qu'il ne remarque pas que j'étais seule et qu'il ne vienne pas à ma rencontre.

Par malchance, le ciel à décider qu'il avait remarqué que j'étais seule et qu'il devait venir me parler. Je roulai les yeux et je fis comme si j'étais occupée en regardant mon téléphone. Peut-être me laisserait-il tranquille?

«Hey, je t'offre un verre?»

Et merde.

Je tournai la tête et je regardai le garçon avec un faux sourire, pour essayer d'être aimable.

«Non merci»

«Tu attends ton mec?»

«Euh... non, mais...»

«Une aussi belle jeune fille comme toi ne devrait pas être seule» m'a-t-il dit en me souriant malicieusement.

Merci, Sherlock Homes. Comme si je ne le savais pas!

Son sourire me donna des frisons dans le dos et il le remarqua. Il me sourit de toutes ses dents en s'assoyant sur la chaise d'à côté.

«Allez, un verre de whisky pour la demoiselle» ordonna-t-il au barman.

Celui-ci fit un verre et me la tendit. Je la déposai sur le comptoir en le repoussant.

«J'ai dit non merci»

«Allez, quoi... C'est pour s'amuser»

Je sentis une main dans mon dos, qui devait provenir du garçon. Il promena sa main en descendant vers mes fesses. Je me levai brutalement et le giflai.

«Moi, ça ne m'amuse pas»

Je tournai les talons et me dirigeai vers la sortie. Je bousculai quelqu'un qui sortit en surprise des toilettes. Quelqu'un, ai-je dit? J'eue l'impression de cogner un mur. Je regardai brièvement le garçon.

«Désolée» ai-je lâché en le déviant pour sortir.

En sortant de la boîte de poser mes mains sur mes oreillers qui bourdonnaient à cause de la musique. Je pris mon téléphone qui était dans ma poche et je laissai un message à l'une de mes amies, disant que je partais. Je marchai vers le parking pour aller dans ma voiture, mais je ne me rappelai pas l'endroit que je m'étais stationnée.

Je retrouvai enfin ma voiture, mais j'échappai nerveusement mes clés au sol. Je les repris en soupirant et j'incérai la clé dans le troue. J'entendus un bruit derrière moi, puis une main se plaqua sur ma bouche et une autre ma taille.

«Tu sais que tu m'as fait vachement mal tout à l'heure?» lâcha la voix du garçon de tout à l'heure

J'essayai de crier, mais il avait placé sa main de sorte que presque aucuns sons ne sort. Je décidai de ne pas me laisser faire et je mordu sa main en lui donnant un cou sur le pied. Il me relâcha avec un cri de douleur et je tombai au sol lorsqu'il me relâcha.

«Sale salope» a-t-il craché «Je vais t'apprendre les bonnes manières»

Je criai assez fort pour espérer que quelqu'un m'entende. Le garçon s'approcha de moi en m'attrapant une poignée de cheveux et en me tirant.

«Lèves-toi»

Je fis ce qu'il me demanda, tremblante comme une feuille et en pleurant. Il m'entraîna jusqu'à derrière la boîte et il me jeta au sol. Dans ma chute, je me cognai la tête solidement.

«Ne me faîtes pas de mal» sanglotais-je.

«Pour avoir mal, tu vas avoir mal, espèce de-»

Il se fit interrompre par un cou de point en pleine figure.

«Espèce de sale petit ordure» cracha le nouveau venu «Sale fils de chienne tu vas le regretter»

Le garçon se retourna en crachant un filet de sang.

«Comment tu m'as appelé petit con?»

«Fuck you» grogna l'autre en lui sautant encore dessus.

Celui-ci était quand même plus massif que le premier, alors il réussit à le neutraliser facilement. Il se mit à le frapper comme un malade en lui crachant des insultes.

«On ne touche pas aux dames de cette façon» lâcha-t-il en se relevant.

Il ne l'avait pas battu à mort, heureusement, on pouvait voir le garçon étendu à terre respirer encore, bien qu'il fût mal au point avec tout ce sang. Mon ''sauveur'' me regarda et je reculai avec crainte.

«N'es pas peur» me souffla-t-il en me tendant une main «Je suis venu t'aider, laisse-moi t'aider»

Je le regardai comme il faut et je fus surprise de voir le garçon que j'avais bousculé avant de sortir. Grand, massif, de grands et beaux yeux verts, des cheveux noirs comme la nuit et un piercing ornait l'un de ses sourcils. Je levai une main tremblante et je pris sa main. Il m'aida à me relever, mais j'avais mal à une cheville. Une me souleva dans ses bras, comme un princesse, et il m'emmena à l'avant, où qu'il avait plus de gens, plus de lumière.

Il enleva sa veste en cuire pour me la mettre sur les épaules, puis sous un lampadaire, il examina attentivement ma blessure à la tête.

«Je vais t'amener à l'hôpital, d'accord? Ce n'est pas si-»

Je le coupai en sanglotant. Il me regarda tristement et il s'approcha pour me prendre dans ses larges bras, comme signe de protection.

«C'est finit, ça va aller» me chuchota-t-il.

«J-Jai tellement... t-tellement eu p-peur. J-Je ne comprends p-pas p-pourquoi il...»

«Il y a des malades dans cette société, tu comprends? Des foutus malades»

Je regardai ses yeux verts et j'hochai la tête.

«Comment t'appel-tu?»

Je lui dis mon nom et il sourit.

«C'est un jolie nom, Y/N. Moi c'est Michael»

Je lui souris à mon tour.

«Je te remercie Michael»

Il me sourit avant d'embrasser mon front.

«Je dois vraiment t'amener à l'hôpital, tu pourrais avoir une commotion cérébrale»

J'hochai la tête une autre fois, puis il me souleva une autre fois pour me conduire à sa voiture. Il m'y installa, puis il me ramena à l'hôpital.

-Jessica-

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