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Eleanor

Depuis mon plus jeune âge, j'ai toujours été enviée.
Pour la majorité, voir la totalité, vivre avec du sang Royal est un privilège, pour ma part, c'est une tragédie.

Toute notre vie, nous sommes forcés à être modèles, et je n'ai jamais apprécié ce sentiment,

le sentiment de ne jamais être assez bien.

Chaque heures, nous stressons de faire quelques choses de mal, de vivre entre les paparazzi's, l'hypocrisie et les gens malhonnêtes.

« _Mais tu ne veux pas non plus faire partie de ta famille, Eleanor. »

Famille.

Hypocrisie.

Deux simples mots.. tellement proche.

Au par avant, je n'avais jamais remis mon titre en question.
James, avait toujours été là pour me rassurée, me donner confiance, je n'avais jamais été totalement seule quand il était encore là, maintenant mon devoir est de le recopier, réfléchir à ce qu'il ferait à ma place.

— Votre Majesté, m'interpelle une voix domestique, me faisant sortir de mes pensées.

— Oui ? Lui répondis-je, simplement.

— Votre Majesté le Roi, demande à vous voir, m'explique-t-elle.

— Maintenant ? Dis-je, en me levant.

— Si possible, me sourit-t-elle.

***

— Bonjour, père. Commencé-je, en m'asseyant devant son bureau.

— Bonjour, Eleanor, je te remercie d'être venue aussi vite.

— Bien sûr, lui souris-je.

— Si je t'ai demandé de venir, c'est pour te parler de la succession, comme tu le sais déjà, tu es la nouvelle héritière de Suède, dit-il en me regardant. Avant de partir, James a signé des papiers, jurant sa fidélité, continue-t-il, en marquant une pause, dans trois jours, ce sera ton tour, les invitations ont déjà été faites, elles sont maintenant prêtes à être envoyé dans le monde.

— Tu veux vraiment refaire la même cérémonie ? M'exclamé-je en me levant, tu ne peux pas !

— Je te demande de te rasseoir, si tu ne sais pas gérer ta tristesse, tu n'auras jamais les épaules pour être Reine ! S'énerve mon paternel.

— Pourquoi vous obstinez à vivre comme si rien n'était arrivé..dis-je, les yeux remplis de larmes.

— Tu sais Eleanor, dit-il, en se levant à son tour, si tu aurais été à la place de James, et que tu serais morte cette nuit là, jamais il n'aurait surréagît de cette manière.

— Je sais, me dénigré-je, je suis moins bien que lui, je ne serais jamais à sa hauteur, je le sais, lui avoué-je, la gorge nouée.

inte du, inte demOù les histoires vivent. Découvrez maintenant