Prologue

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" Je suis peut-être en train de faire une bêtise en vous publiant l'histoire sans l'avoir terminée ou entièrement  pensée mais bon je prends le risque. J'espère que cela vous plaira, cette œuvre sera différente de la Saga PROPOSITION INDÉCENTE mais bon ce n'est pas grave. Et je vous prie de m'excuser des irrégularités qui paraîtront dans mes publications. "




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Je suis agenouillée face à mon maître qui se tient debout face à moi, nous sommes dans sa salle de jeu. Ce soir nous ne sommes pas là pour une séance habituelle mais pour que je reçoive ma punition. En effet, j'ai été désobéissante envers mon maître. Cela ne me fait pas énormément peur car je le mérite, je frémit d'impatience. Il ne m'a pas dit comment il allait me punir et le connaissant cela sera douloureux.


Il me caresse la tête et me contourne afin de se diriger vers la commode qui contient de nombreux accessoires. Il sort du meuble quelques choses mais je ne le vois pas. Je découvre ce que c'est lorsqu'il le laisse tomber sur le sol à côté de moi. J'aperçois de nombreuses cordes.

— Place tes bras dans ton dos et remonte tes mains jusqu’à tes omoplates. M'ordonne-t-il en m'arrachant à mes pensées.

Je m’exécute en grimaçant légèrement, je sais d'avance que la position sera douloureuse. Une fois que je me suis exécutée, il commence alors le ligotage.

Mon maître lie mes avant-bras à mes biceps puis mes deux bras ensemble. Il  m'en corde avec une aisance et une précision qui m'étonnent à chaque fois. Il passe ensuite les cordes sous mes seins et le ventre puis relie ces cordes à celles  dans mon dos. Il immobilise entièrement le haut de mon corps. Maître s'occupe ensuite de me lier le bas du corps. Il attache ensemble mes chevilles, mes mollets, mes genoux  en dessous et au-dessus ainsi que mes cuisses en deux endroits différents. À présent j'ai les jambes littéralement soudées l’une à l’autre. J'ai l'impression d'être attaché comme un poulet rôti.

Le maître relie ensuite mes liens des cuisses avec ceux du dos, formant avec sa corde d’étranges motifs sur mes fesses. Je suis de nouveau impressionnée par la rigueur et la complexité du bondage.

Il m'arrache de nouveau à mes pensées lorsque ce dernier m’allonge sur le ventre puis plie  mes jambes. Le dom rapproche mes chevilles de mes bras et les relie avec une corde. Il me contraint à garder une position courbée vraiment très désagréable. Je commence à regretter mes actes en voyant le châtiment qui m'attend. Le maître attrape le bout de corde qu'il à laissé pendre devant moi, il y a quelques minutes. Il fait passer cette dernière entre mes lèvres vaginales puis le relie également à mes bras, ce qui est affreusement douloureux.

      Un bruit métallique très bruyant se fait entendre, mon dom fait descendre  un anneau du plafond. M’attachant une nouvelle corde aux genoux, il relie cette dernière à l’anneau. Un gémissement de douleur s'échappe de mes lèvres.

Je retiens les larmes qui menacent de couler sur mes joues, je fais du mieux que je peux pour ne pas bouger. Le maître déteste lorsque je gigote quand il me punit. Je comprends par la suite que je  vais être suspendue la tête en bas. Le maître m'enfonce un bâillon boule la bouche afin que je ne puisse pas faire de bruit. Il l'attache derrière la tête et met un cadenas dessus.

Je ne traîne  quelques instants au sol avant qu'il ne commence à se soulever. Cela commence d'abord par les  jambes,  les cuisses puis le ventre et la poitrine.

Lorsque  mes épaules ne touchent plus le sol, je me retrouve suspendue. Je suis suspendue à au moins deux mètres avant d’être totalement immobilisée. La position me donne la nausée et le vertige, regarder le sol n’arrange pas les choses.

     Mon maître  finit son “œuvre“ en attachant une dernière corde à mes cheveux. Il tire dessus et l’attache à un autre anneau en hauteur. Cela force mon  corps à garder une position encore plus courbée. Mais cela me permet de ne pas être  totalement la tête en bas, j'ai eu peur que le sang me monte à la tête l'espace d'une minute.

Le maître me regarde, il semble fière du bondage qu'il vient de réaliser sur ma personne. Moi, je me demande combien  de temps je vais devoir garder cette position inconfortable.


Il prend ensuite une cravache et me tourne autour tel un animal qui guette sa proie. Je comprends quelques secondes plus tard qu'il va l'utiliser sur moi lorsque le premier coup s'abat sur ma fesse droite. Au bout de longue minute, je ne compte plus les coups de cravache qu'il administre sur mes fesses et sur ma poitrine. Je ne sais plus combien de fois il a pincé mes tétons.

Pour me torturer d'avantage, le maître va chercher un vibromasseur pour le placer sur mon clitoris.

" Non pas ça maître, je vous en prie " dis-je mentalement.

— Tu le garderas toute la nuit, ce dernier est programmé pour qu'il s'arrête avant que tu ne puisses avoir un orgasme. Tu as quinze minutes de repos avant qu'il ne reprenne et ne s'arrête à l'approche de ton prochain orgasme.

Suite à ses dires il met l'objet en marche, le vibromasseur commence très vite à titiller mon bouton. Mes gémissements sont étouffés par le bâillon boule, les gestes que je fais sont horriblement douloureux. Je peine à rester tranquille ce qui ne facilite pas les choses.



Je vois mon maître s'éloigner de moi, il va prendre place dans un fauteuil juste en face de moi après s'être servi un verre. Il le termine en me regardant avec satisfaction. Le vibromasseur n'arrête pas de continuer ses mouvements comme il l'avait dit un peu plus tôt. Après une bonne heure à mes côtés, le maître de lève et s'adresse à moi qui suit déjà exténuée. Je viens d'être privée de quatre orgasmes et je suis déjà frustrée. Les liens me font terriblement souffrir à chaque mouvement, le maître m'a contemplé sans rien dire. Il a juste siroter des verres.

— Bon je vais dormir, passe une bonne nuit, on se voit demain matin. Me lance-t-il en me regardant d'un air amusé.

Lorsqu'il quitte la pièce, la solitude m'envahit, je vais vraiment être toute seule ici. En sa présence c'était moins insupportable, je vais devoir tenir le coup afin de lui faire honneur. La nuit s'annonce très longue à mon goût, et surtout douloureusement frustrante.
   

MAÎTRE  " Je vous appartiens maître"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant