EMPRISES

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Son venin,
Accroché à des mots trop de fois murmuré en silence,
Les cadavres passent en chemin,
Serait-ce un délicieux déni ?
Ou est-ce simplement surréaliste ?
Il suffirait de se souvenir
Mais cette fine bobine c'est brisé,
Après avoir tenté de t'éffacer,
Les yeux bandés,
Jai tant de fois oublié,
Et je ne veux pas savoir,
Combien d'autres à tu blessé,

Je l'ai regardent,
Leurs visages remplis de tristesses,
Vide et écorcher par tant de faiblesse,
Après avoir tout détruit,
Dite moi ce qu'ils restent.

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