PANSEMENT

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Longue mer interminable,
J'ai une vue imprenable,
En espace d'un instant
Tout paraît si suspendu,
Si les vagues pouvaient apaiser la solitude grandissante,
Pourrais-tu consoler ma peine ?
Que les autres ne peut comprendre,

J'ai réduit au silence,
Et jeter mes larmes dans l'immensité de l'océan,
Poser devant l'infini,
J'ai appliqué des pansement,
La haut si tristes,
Et le soleil si désolé,
S'en va ce coucher,
Une pluie d'étoile tâche le ciel,
A mes paupières si lourdes,
C'est sur un nuage que je rêve,
Tent moi la main,
Je ne veut pas de lendemain,
Mais de longue route sans destination,
Que de long voyage pour laisser place à la rêverie,
Je ne veut pas me réveiller,
Pour laisser le temps filé,

Ne soit pas qu'un rêve je t'en supplie,
Soit ma réalité,

ARTHÉISTE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant