Les Enfants De La Malédiction ๑ [ Naruto X Reader ] ♡

Chapitre 33๑

Coucou ! Comment allez-vous ?

J'étais très occupée ses derniers temps, mais je ne vous ai pas oublié ! Et pour me faire pardonner je vous ai fait un chapitre qui est assez long..
Alors bonne lecture à vous et à très bientôt <33

๑~๑

— vous lui ressemblez tellement ! Les gènes ne trompent pas. Dit-il en souriant de toutes ses dents.

Indra et moi étions au bout d'un gouffre sans lumière, on ne comprenait pas ce que disait le vieux face à nous. 

Il avait l'air d'exploser de joie..

Indra commence alors très vite à s'énerver, beaucoup de mystère et de patiences lui font monter les nerfs..

— expliquez-nous vos paroles, je crois qu'on a le droit de savoir ?

C'est alors que le grand sourire du vieux s'efface définitivement de son visage. Son expression était devenue plus au moins sérieuse.

— ton sale caractère ne vient sûrement pas de ma fille, il est de ton père.

C'était une révélation. Une bombe avait explosé sur nous à cet instant..

— une de vos filles est censée être notre mère, dites-vous ? Comment pouvons-nous croire à ses mots venant d'un étranger et sans preuves qui puisse ?

— notre.. Mère ? Chuchotai-je nerveuse.

Comment un vieil homme sorti de nulle part, pouvait connaître notre mère, décédée à notre naissance.
On n'est même pas dans la bonne époque !

Quand celui-ci avait sous-entendu que sa fille était notre mère, mon cœur avait arrêté de battre un fragment de seconde. Tout mon corps désirait la connaître.. 

— calme-toi t/p.. Il raconte n'importe quoi ce vieux. 

Indra me fixait simplement des yeux, il était tout autant perdu que moi, mais ça ne l'empêcher pas de me rassurer. 

Il hausse les sourcils et garde les yeux grands ouverts en se tournant directement vers l'inconnu qui venait d'ouvrir les portes de la pièce.

— C'est elle.. ? Demandai-je.

Le ton de ma voix s'élevait, je tourne les yeux vers la porte coulissante à notre gauche. Voyant la fille de tout à l'heure avec une assiette dans les mains.

— euh.. Le sourire aux lèvres.

— excusez-moi du dérangement, je pensais que des gâteaux feraient plaisir aux jumeaux. 

Pas-à-pas avançant directement vers nous, elle fut troublée par nos regards curieux et émotionnels.

Après être partie, le vieux se décide enfin à répondre à nos nombreuses questions.

— je n'ai qu'une fille, et c'est elle, Hélène.

Deux options s'offrent à nous :

- croire le vieux.

- ne pas le croire ?

Ce fût une révélation, une découverte remplie d'émotions. C'était la première fois qu'on parlait de ma mère.. Après tout, on est dans le passé, je devais la connaître. C'était un droit que je devais exploiter. 

Je devais aller la chercher, mais elle est venue à moi sans même que je puisse faire quoi que ce soit.

— Hélène.. ?