« 𝘀𝗲𝘂𝗹 𝘀𝗮𝗻𝘀 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲 »

𝐈

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« 𝘀𝗲𝘂𝗹 𝘀𝗮𝗻𝘀 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲 »

Aleykhem shalom, j'espère que vous allez bien et que votre vie se passe bien. Avant que l'histoire commence je viens vous prévenir que cette histoire est 100% 𝙛𝙞𝙘𝙩𝙞𝙫𝙚 𝙖𝙫𝙚𝙘 𝙦𝙪𝙚𝙡𝙦𝙪𝙚𝙨 𝙛𝙖𝙞𝙩 𝙧𝙚́𝙚𝙡 !

Je m'excuse aussi pour les fautes d'orthographe que je vais faire. Je vais essayer de les corrigé !

Bon je vous laisse avec le début de l'histoire et n'oubliez pas que cette histoire et à moitié 𝙁𝙄𝘾𝙏𝙄𝙑𝙀 !

Bon je vous laisse et 𝗾𝘂𝗲 𝗗𝗶𝗲𝘂 𝘀𝗼𝗶𝘀 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗻𝗼𝘂𝘀.

Je venais de sortir de mon bâtiment pour partir en cours. J'avais la flemme d'attendre le bus donc je commence à marcher dans une rue qui mène devant le collège au collège.

Je passe dans la rue et je commence à avoir un mauvais pressentiment mais bon. J'y faisait pas super attention. J'allais sortir de la rue quand je me sens 𝙚́𝙫𝙖𝙣𝙤𝙪𝙞𝙚. Je sais pas trop comment décrire ce qu'il venais de se passer mais je me sentais plus dans ma peau.

Je me réveille allongé sur un carton dans une cave où on voyais la lumière du jour apparaître entre les barrières de la cave.

Je me redresse et je regarde autour de moi pour voir où j'étais. Je décide de me lever pour essayer de m'enfuir d'ici. J'arrive devant une porte sauf que je m'en sens attraper par deux personnes.

Je me retourne et je vois deux monsieurs me tenir le bras. J'essayais de me débattre mais je n'y arrivais pas, il étais beaucoup plus musclé que moi donc je l'ai et laisser faire.

Les deux monsieurs m'emmène devant une porte où il y avait écrit sur un tableau en bois « 𝘽𝙐𝙍𝙀𝘼𝙐 𝘿𝙀 𝘼𝙈𝙄𝙍 ». Un des deux monsieurs toque à la porte puis ouvre la porte avec l'accord du monsieur qui étais à l'intérieur.

J'entre dans ce « bureau » et je tombe sur un monsieur barbue+musclé. Les deux monsieurs qui me tenais me fond m'assoir et reste debout derrière ma chaise au cas où je pourrais m'enfuir.

Les deux monsieurs qui était derrière moi explique à « 𝘼𝙢𝙞𝙧 » ce qui venais de se passer. Amir fronçe les sourcils et se lèvent en appuyant son pouce sur la table.

𝖠𝗆𝗂𝗋 － Donc toi tu voulais t'enfuir ?

Il s'approche de moi et commence à me déshabiller à l'aide des deux monsieurs qui étais derrière moi.

𝖧𝖺𝗂̈𝖽𝗁𝖺 － S'il vous plaît laisser moi partir, et je vous promets que je ne dirais rien n'a personne

Dit - je d'un air effrayé.

𝖠𝗆𝗂𝗋 － Pourquoi devrai-je te croire 𝙃𝙖𝙞̈𝙙𝙝𝙖 𝙕𝙤𝙧𝙞𝙣𝙨𝙠𝙝𝙞 ?

Déjà de une, comment il connaît mon nom de famille lui ?!