- "L'homme à l'amour impossible" voilà ce qu'il y a marqué sur Internet, voilà ce que disent les guides touristiques aux visiteurs, que cet homme était un amoureux des choses impossibles. Mais moi je vais vous raconter la véritable histoire de mon arrière grand père.
Une main se lève, la petite propriétaire est interrogée.
-Madame, vous faites vraiment parti de la famille du monsieur de la statue ?
-Oui, et l'histoire que je m'apprête à vous conter n'est que pure vérité.
“Il n'y a ni trop longtemps, ni récemment, cet homme gardait le bâtiment sous le quel nous nous tenons, en tant que gardien. Il restait toujours ici, de jours comme de nuits. Un jour, alors qu'il s'aventurait dans la salle où cette statue était entreposée, il tomba sur elle. En rentrant chez lui, où ses enfants l'attendait, mon aïeul leurs dit comme quoi il était tombé sur une statue qu'il a décidé de protéger contre tout et n'importe quoi. Après avoir échangé un regard lourd de sens, ils se sont contenté de hocher la tête et de lui servir un assiette, dans l'espoir qu'avec l'estomac plein et une bonne nuit de sommeil il reprenne ses espirts. Après tout, ce n'était qu'une statue.
Malheureusement pour eux, il gardait toujours le même objectif en tête et reviens de moins en moins souvent chez lui.
Cela dura plusieurs années quand un jour, un coup ébranla le bâtiment et cassa le poignet droit de cette statue blanche. Mon aïeul avait failli à sa mission. Il était dévasté.
Cependant, ce coup venait de déclarer la 2° guerre mondiale. Tout les hommes valides ont étaient engagés dans la bataille. La guerre durant 6 ans et un jour. Il s'en sortit vivant, au plus grand bonheur de ses deux jeunes filles. Il prit le temps de rester avec ses enfants puis elles finirent pas lui donner des nouvelles de sa chère statue qu'il n'avait jamais oublié. Elle était cassée de partout, fracturée. Il répondit qu'il allait y remédier donc que ce n'était rien.
La vérité sur ce soldat, c'est qu'il était dans un camp de prisonniers du quel il s'était échappé. Les soldats allemands le recherchait donc.
Gardant cela en tête, il se lève et part se coucher, toujours avec son fusil par peur d'une embuscade, traumatisme que la guerre lui a offert.
Le lendemain, alors que la famille fraîchement réuni, le chef de la famille leur expliquait ce qu'il contait faire et...„Une main se lève d'un seul coup : c'était celle de la petite fille.
-Oui ?
-Excusez-moi mais votre arrière grand mère, elle pensait pas qu'il la trompait avec la statue du coup ?
-Non, il est vrai que j'ai oublié de le dire mais sa femme était décédée pendant l'accouchement de leur dernier enfant.
-Ah d'accord.
-D'autres questions avant que je continue ?
Réponse négative de la part de ses jeunes auditeurs, attendant la suite, littéralement suspendu à ses lèvres.
-Bien donc où en étais-je ? Ah oui voilà, donc...
“... et ses filles ont à nouveau échangé le même regard qu'il y à plus de 6 ans. Elles ont acquiescées et ont enlacés leur père en promettant de l'aider.
Les jours, les semaines et les mois s'écoulèrent, sans que mon arrière grand père ne se face repéré par l'Allemagne. Puis enfin, une nuit, il parti avec ses filles au musée. Ayant était gardien du bâtiment, il connaît toutes les entrées et sorties. Ils entrent dans la pièce avec la statue. Il l'a revue pour la première fois depuis l'armistice, la tristesse dans les yeux à la vue de ses fissures. Immédiatement, il s'empare tendrement de la main cassé en s'approchant d'elle.
Un liquide brûlant et blanc coule alors sur les deux. C'était du plâtre.
Une fois le contenu versé, les filles restent au côté de leur père, endeuillées.
Attendez, leur plan n'est sûrement pas très claire dit comme ça : quand il a appris que la statue a était cassée, ses filles avaient anticipé se réaction : il était rester le même après cette guerre malgré ses traumatismes... Le lendemain il leur a dit qu'il était recherché dans tout le pays, par les Français et les Allemands. Sachant qu'il voulait réparer cette statue de tout son cœur, elle lui on dit que le seul moyen serait de mettre quelque chose puis de faire fondre du métal dessus pour sceller les deux parties. C'est là qu'est venu l'idée à mon ascendant de se faire couler le fameux métal. Ses filles ont étaient dévastées mais l'on tout de même soutenue jusqu'à tuer leur père. Elles l'aimer de tout leurs cœurs alors elles voulaient lui faire un cadeau, en espérant qu'il puisse le voir de la où il était.
Une fois le plâtre solide, elles le recouvre peignent. L'une étant plus forte que l'autre en peinture sur statue, elle s'occupe de repeindre les traits de leurs père et de le décorer comme il le méritait. L'autre se charge de monter la garde.
Plusieurs mois passèrent, pendant que les filles avaient fermé l'accès à la nouvelle statue. Au dehors la rumeur courait qu'elles étaient en train de faire une nouvelle œuvre soutenue par le maire de la ville représentant un jeune couple... Après tout, ce n'était qu'une part de vérité avec un détail pour le moins incorrect.
Près d'un an après, les filles ouvrent l'accès et tout le monde s'émerveillait devant "tant de talent".
Jamais, durant plus de 70 ans, le secret de cette statue n'a était révélé, de peur des représailles sur ma famille. Cependant, au fil des années qui s'écoulent, on a eu horreur de voir que tout le monde croyait ce tissu d'histoire tellement decousu qu'on a commencé à révéler cette vérité au enfants, adultes, amis, etrangers...„
Une main se dresse à nouveau dans les airs dont la jeune propriétaire obtient la parole.
-Mais il n'y a pas eu de problèmes du coup ?
-Non, on n'en a pas eu, au contraire. Mes parents se sont vu avoir des compliments pour le courage de notre famille.
Une autre main se lève. Cette fois c'était un petit garçon à côté de sa camarade pour le moins curieuse.
-Je t'écoute.
-La statue n'a jamais était abîmé ?
-Non car depuis qu'on a autorisé les visites, ma famille protègent cette statue au péril de leur vie, même si il n'y a jamais eu de morts ou de graves blessés.
-Mais vous avez dis "graves blessés" donc il y a quand même des gens blessés à cause de ça non ?
-Oui mais seulement à cause de petits accidents de transports. Nous n'avons jamais confié une seule tâche à qui conque par rapport à notre héritage. C'est notre responsabilité, c'est à nous de nous en occuper, refaire la peinture parfois, replacer les décorations souvent.
Un silence de mort s'abat sur le groupe puis ils applaudissent doucement, timidement et l'admiration devant tant de dévouement présent et passé. Ce devoir qui a traversé des générations depuis 1946 à aujourd'hui. Cette responsabilité pesant sur les épaules d'une seule et même famille dévouée.
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Short Story100% fait par moi sinon je précise que j'ai l'autorisation de la personne et si il/elle a Wattpad, je donne son compte (si il/elle le veut bien sûre )! ~~ Nouvelle 1 : "La vie d'une pomme " Nouvelle 2 : "Histoire imaginée grâce à la première image...