Injection

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En tout, il eut 7 ''jeu''. La première étant mentale et physique. Je la surnommait: Injection.


La fille démon, en me voyant entrer dans l'école me dit;

-Je vois que tu aime bien jouer avec moi. Suis moi, j'en ai un autre à te montrer.

Elle m'agrippa avec ses longues griffes, qui s'enfoncèrent dans ma chair. Une onde de douleur traversa mon corps en entier. Je ne pu émettre un son par la cause de la terreur que j'éprouvais. Comment peut on avoir pire que ce que j'ai déjà vécu? Le démon m'amena de force vers un lieu sombre. Il me dit avec un sourire démoniaque;

-Voici ta cellule. Je vais venir t'apporter ici après chaque jeux. Tu vas voir, tu vas surement t'y plaire. Mais pas tout de suite. Tu subira avant une épreuve très facile. En fait, soit tu vis, soit tu meure.

Et le démon m'emmena dans une nouvelle pièce. En la voyant, je compris ce que signifiait le ''pire''. Je me mis à me débattre mais cela ne fit bouger a peine le démon. Je cria, hurla mais rien. Il fit juste rire de satisfaction en me voyant presque pleurer ma vie. La pièce était comme une salle opératoire de savant fou dans les films. Il y avait une chaise d'opération dans le milieu de la pièce. Plusieurs seringues étaient accrochés mais chacune avaient une aiguille presque plus longue que mon bras. Il y avait aussi plusieurs pinces et couteau sur des tables. En plus, des instruments de torture surplombait la salle. Des taches de sang s'étalaient sur les murs. Le démon m'accrocha sur la chaise de torture et me dit;

-Aujourd'hui, ton épreuve sera de rien faire. Tu es chanceux, c'est moi qui fera le travail à ta place. Tu ne sera plus le même après cette épreuve mais tu sera fort et tu sera aussi... Je vais te laisser le découvrir par toi même...

Il m'injecta un liquide noir dans le bras et celui-ci envahi mon corp en entier. Je hurla et me débâti mais rien. On dirait qu'un serpent se promenait dans tout ton corps. Je sentais ce truc agir sous ma peau et il semblait maintenant solide. Mes veines devint noir et j'eu la soudaine envie d'ouvrir celles-ci pour arracher ce poison de mon corps. Les secondes me semblaient devenir des heures et les minutes, des jours. Je ne lutta pas très longtemps car le liquide atteignis mon cerveau et en pris le contrôle. Quand il pu enfin me diriger, sa première réaction fût... rire. Je riais d'un rire tellement diabolique que j'eu peur de moi même. Par contre, même si le poison me dirigeait, j'avais encore le plein contrôle sur mon âme. C'était ma prison et moi, son prisonnier. Le démon dit que la première phase est désormais terminer et m'envoya dans une sale de cinéma. Il me fit asseoir sur une chaise et me mit du tape ou les yeux pour me les tenir ouvert. Il décolla un film de guerre et me dit;

-Je vais te montrer à quoi tu doit ressembler. Tu doit être le prédateur, et non la proie. Tu doit être fort, et non faible. Et tu doit tuer pour rester en vie.

J'approuvais de la pitié pour la personne qui était victime mais ma prison, elle, disait le contraire. À chaque fois que quelqu'un se fesait tuer, elle affichait un sourire de satisfaction. Quand le film fût terminer, le démon vint me rechercher pour m'apporter dans ma cellule. Mais avant de m'enfermer dedans, il me dit;

-Ta première étape à été compléter à grand succès. Il t'en reste encore six autres. Pour ta prison, tu verra que le liquide ne peut te contrôler à l'intérieur donc, bonne chance.

Et il m'enferma à l'intérieur. Le poison se volatilisa en quelques secondes. Je pu enfin constater que j'aurais préférer l'avoir dans ma cellule. La pièce était plus noir que l'ombre. On n'y voyait même pas le bout de son nez. Il fesait aussi extrêmement froid; on dirait être dans un congélateur. Il n'y avait aussi aucun son. Pas même une mouche volait; elles étaient probablement mortes. Quand je marchait, même le bruit de mes pas me fesait mal aux oreilles. Il me pris beaucoup de temps à m'y habituer. Je tapotait les murs pour trouver comment ils étaient fait. Ils étaient fait en brique donc impossible de les briser avec le matériel que j'avais. Le plafond n'était pas très haut, parce que quand je levait un bras, j'y touchait. Je décida de m'asseoir par terre. Je savais que je deviendrait fou en restant trop longtemps dans cette pièce donc je me parlait à moi même, en attendant que le démon vint me chercher pour ma deuxième épreuve; un labyrinthe.

Un démon dans ma classeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant