J'écoute, attentive, leurs passés froissés.
Je bois leurs maux,
Telle une éponge voulant aspirer une marée,
Pour que leurs présents sonnent moins faux.
Je panse leurs plaies au fil fragile
De l'espérance.
Certains me jugeraient futile,
Au couvert de l'indifférence.
Mais qu'importe !
Je veux leur laisser une porte
Ouverte sur leurs sourires.
Qu'importe,
Si la vie les emporte,
Dans ses flots renaitront les rires.
Qu'importe,
Si enfin demain les transporte,
Désir deviendra avenir.
VOUS LISEZ
Les nuées de l'aube par La Plume des Colombes
PoetryTroisième recueil collectif de La Plume des Colombes ! Celui-ci portera sur notre vision de l'avenir, en vers ou en prose, les colombes vous proposent leurs cris du cœur, comme leurs moments de contemplation. Nous acceptons toujours les nouvelles p...