Parfois j'oublie.
J'oublie que bien malgré nous, tu es parti.
J'oublie qu'il y a 3 mois, au matin,
On avait cessé de se méprendre de baratins.Mais la nuit, ton rire revient.
Je te vois partir, je me vois hurler,
Je me vois te chercher et toi ne jamais revenir;
Disparaître dans un recoin.Explique moi pourquoi je te vois dans toutes les allées,
Pourquoi je m'arrête au stade pour aller te saluer,
Pourquoi je confonds toute les 50 avec la tienne,
Pourquoi les souvenirs reviennent.J'ai tant de mal à réaliser,
Que ce même ami avec qui je jouais dans la cour du Montellier,
Avec qui je chahutais à Marcel Aymé,
A disparu, rue du Cottey.Ces derniers mois étaient longs, tu me manques mon ami
Plume
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Car la liberté guidait la plume...
PoetryDerrière chaque révolution, chaque grand artiste, chaque grande oeuvre... se terre la première plume, qui a permis à l'Homme l'acheminement de sa promesse. Que ce soit en 1789 , près de la Bastille, ou bien dans les tranchées en 14/18; la plume a ré...