J'ai cauchemardé de la présence de tes mains
J'ai tremblé de te voir le lendemain
J'ai pleuré tes mensonges et ta perversité
Et vomis ta splendide nocivitéQuel calvaire d'être tombé aussi bas
C'est-à-dire si loin que mènent tes bras
Je suis morte, si ce n'est matériellement
J'ai senti au fond, le vélo faire tomber l'enfantAinsi voilà, me voici debout mais comment
Un corps bien vif mais d'un vide violent
Qui hurle au désarroi, sans un bruit
Puisqu'il s'est barré, avec ma vieEt c'est bien parce que j'ai fini par rêver
Que j'hurlais "ma bohème" sous un ciel étoilé ;
J'ai inversé mes bagues par un geste maladroit
Et j'ai compris que même mon corps ne voulait plus de toiHalf
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Car la liberté guidait la plume...
PoetryDerrière chaque révolution, chaque grand artiste, chaque grande oeuvre... se terre la première plume, qui a permis à l'Homme l'acheminement de sa promesse. Que ce soit en 1789 , près de la Bastille, ou bien dans les tranchées en 14/18; la plume a ré...