Un soir, je suis rentrée à la maison,
J'ai longuement réfléchi,
A ce qui serait le mieux pour lui, moi, nous.
Finalement, une décision peut-être égoïste a fini par prendre le dessus sur le reste,
Celle de terminer définitivement cette idylle.
Celle qui dès que je me retrouvais seule sans lui,
Je me sentais complètement vide.
Ses mains ne touchaient plus mon corps.
Ses lèvres n'embrassaient plus les miennes.
Mes yeux ne se noyaient plus dans les siens.
Et son cœur ne battait plus contre le mien.
Sa peau me manquait.
Son odeur me manquait.
Ainsi que lui tout entier.