ᴛʜᴇ sʟᴀᴘ

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Le soleil me caresse le visage. Ses rayons orangés m'éblouissent. La fraîcheur du vent me balaye la figure, faisant voler ma crinière. Mon transat est confortable, et ma tasse de café au lait me réchauffe. Je me suis levé en première. Ceci dit, Yuro dort encore. Dès que j'ai été sur pieds, la première idée qui m'est venue a été la nourriture. Je me suis alors précipitée à la cuisine grâce à mes connaissances de la veille, et y est trouver une dame de ménage. Je voulais me préparer mon café, mais elle a insister pour le faire elle même.

-Violette ?

Je sursaute malgré ma position, et tourne brusquement la tête.

-Oui ?

Yuro est levé, et il semble énervé.

-Tu fais quoi, là?
-Je... peux y aller, si tu insistes.

Il se lève, vêtu d'un seul caleçon. Je me surprend entrain d'analysé celui-ci.

Je porte encore ses vêtements et sa générosité qu'il m'a tendue hier bras ouverts.

-Tu veux que je...

Soudain, il se précipite vers moi, sa peau parfaite sous mes yeux, et se penche pour m'embrasser.

-Reste ici, et ferme la.

Dit-il en entrant sa langue dans ma bouche.

Je m'écarte sans le repousser, avant de revenir vers lui. Il grogne de plaisir.
Je juererais qu'il possède un goût mentholé.

-Tu peux t'en aller, maintenant.
-Pardon ?

Comme il ne répond rien, et me fixe de ses yeux nargueurs, je me lève d'un bond et lui vole une gifle au passage, tout en le griffant a la figure de mon geste capillaire exagéré.

-Connard ! Sifflais-je, reprenant mes vêtements de la veille tout en sortant de sa luxueuse chambre.

***
-Mais j'y crois pas, quel salopard ! Gueule Jurie dans tout le café, après lui avoir raconté les potins du matin.

Je lui fais signe de baisser d'un ton, et reprend la conversation.

-Tu l'as bien dit. Et toi, avec Arhedes ?Changeais-je de sujet.
-Oh là là, tu devineras jamais !
-Dis moiii !
-On a couché ensemble...
-Couché?
-Nan mais j'dis ça parce qu'a près je l'ai vue taper sa meilleure galoche à une passante.
-ESTRAVAGUANT ! NAN MAIS J'Y CROIS PAS ! Hurlais-je.
-Chuuuuttt !! Ricane Jurie.

Après que tout le monde est finit de nous fixer, nos café furent avalés dans des discussions de fêtes, de potes ou de fringues.

Une fois sortis du café, on ce dirige chez Jurie lorsqu'un beau parleur nous interpelle.

-Salut la blondasse, dit le gars en désignant Jurie.

J'en ai marre de ses mecs avec aucun respect. Sur ce coup de tête, je me dirige vers lui et lance mon poing dans son nez.

-C'est Jurie, ducon.

Je prend la main de ma meilleure amie, et secoue mon autre sanglante.

-Ouwh ! Je déteste les mecs, ET LE SANG !
-Ouais, MOI AUSSI !!

On se met à slalomer tout en criant des jurons sur tout types de mecs qu'on connaît a peine.

-Tu vois y'a un rouquin, à peut près 1m80 au lycée?
-Ouais ?
-BAH QUEL CONNARD !
-SALAUD !
-YASS BABEEE !!

A desoriented childOù les histoires vivent. Découvrez maintenant