ᴛʜᴇ ᴘᴀʀᴛʏ

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La fête ce déroule chez Yuro. La maison est spacieuse, et est entourée de buisson verts. Donnant un peut de vie à la noirceur des murs. Devant eux, ce trouve une immense piscine. Dans celle-ci, ce trouvent des leds. Ils sont sur lumière violette. Assortit à ma robe, baby !

Je suis coiffé d'un chignon laqué, avec des perles rappelant ma robe. J'ai aussi fait des baby-hairs.
My hairstyle.

Un jeune barbus, yeux chocolat assortit à ses cheveux, viens me voir.

-Hé ! M'zelle ... T'es pas mal.. pas mal... !
-L'appelle pas m'zelle, sinon, tu dégage de chez moi.

Une voix fraîche et envoûtante ce plante alors derrière moi. Le gars saoule me jette un dernier regard reluquant, et part à cloche pied. Je sens son regard, qui dérive vers la courbe de mes seins et les banderoles qui s'y trouvent. Je m'écarte, me tourne, et lui balance.

-Tu te prends pour qui ? Mon garde du corp ? Déguerpi, j'suis là pour me bourré la gueule, moi ! Lui lançais-je.
-Un merci aurait été mieux vue. Je vois que tu n'as pas mis de déguisement. Dit-il en lâchant son regard de mes lèvres pour me regarder dans les yeux.
-J'ai appris que c'était faux.

Déçue, je me dirige donc vers la fontaine à Whisky. Je prend un verre, puis vite un deuxième. Et les troisièmes et quatrièmes s'enchaînent. Une foule s'est formé autour de moi, et une table a été déplacée. S'y trouvent des gobelets rouge de l'extérieur, exposé en triangle. Un homme ce trouve en face de l'autre bout de la table.

-Bière-pongs ! Bière-pongs ! Crie la foule autour de moi.
-Tu commences. Lance t-il.

Ma main se dirige dangereusement vers la balle de ping-pong, mais une main me stoppe, et une autre se pose sur la courbe de mes hanches.

-Elle ne joue pas à ces jeux là. Lance sa voix vraie.

Je me tourne, déguerpi ses mains de ma taille, m'écarte de la table et m'éloigne. Entraînant Yuro avec moi. Une fois dehors, je le place sur une chaise de jardin, et m'assis sur lui.

-Et je joue à quel jeu, Winnie L'ourson ?
-A autre chose... Dit-il en s'approchant.

Je stoppe sa mâchoire, l'écartât, et lui dit.

-C'est moi, qui joue. Ne l'oublie pas.

Je me cambre, et dirige ma bouche vers la sienne. Place sa main de timide sur mon fessier qu'il serre de ses mains veineuses.

-Je ne joue pas aux jeux de bourré. Dit-il, retirant sa main, ne laissant pas entrer ma langue dans sa bouche. Va boire de l'eau. Beaucoup d'eau. Et on jouera peut être à ton jeu.

Son refus me laisse des frissons. Je serre les jambes en me sortant des siennes. Putain de robe longue.

Je me dirige vers le bière-pongs, et balance à celui qui m'a remplacer.

-Dégage ! Tu sais pas faire !

La foule crie, et je n'eus pas besoin de balle pour m'enfiler les gobelets restants.

Les gobelets s'enchaînent. 9...15...20...

Les lumières et la musique tournent dans ma tête. Un gars blond essaye de m'embrasser. Je sens son regard posé sur moi. La tentation est trop tentante. Et puis ce blond à les mêmes traits que Yuro, et je suis bourré, merde ! J'entre ma langue vers le sosie de Winnie, et lui tape ma meilleure galoche, pendant qu'il m'aspire les lèvres. Je ne pus m'empêcher de penser que Yuro m'embrasserais pas comme ça. Mieux.

-Meuf, t'es folle ! Dit le mec, aussi bourré, apparement.
-Et toi donc ? Embrasser le sexe opposé c'est pas cool non plus ! Lançais-je au gay, qui rit de plus belle.
-J'ai jamais vue de seins de ma vie. Tu me montres ?
-Fait le toi même.

Et le sosie commence à tirer sur les brettelles de ma robe vers le bas, et ce couvre la bouche à la vue de mes seins.

-J'peux toucher ?
-Et comment !

Il les touche timidement, et finit par me les écraser. Je gémit de douleur.

-Et le bas ? Crie t-il par dessus la musique.
-T'es gourmand ! Riais-je.

Son regard de braise est posé sur moi. Il est accoudé au bar, buvant du mojito.

Le gars gay, content de voir une fille nue pour la première fois me serre dans ses bras. Mon string violet à la vue de tous, tout le monde vient me toucher. Une personne se fit un passage dans la foule, pendant que je remue mes seins et balance ma robe en l'air. Winnie finit par arriver sur moi, et me prend dans ses bras.

-Mec, laisse la nous encore un peut ! Lâche le mec boitant de toute à l'heure.

L'ourson ne répond rien. Me serrant plus fort contre lui en ramassant ma robe.

-Tu ne m'aimes pas. Dis-je en tripotant ses lèvres pulpeuse.
-Tu ne m'as pas écouté.
-J'aime pas l'eau. Ricanais-je, de mon rire bourré.

Une fois sortie de la foule, je sens des draps m'envelopper. Je suis dans une chambre. Il y a une cheminée en brique, ou se trouvent des brins de fleurs, dans un vase en pierre.

-Reste avec moi. Lui ordonnais-je.

Il ce dirige vers moi, ce glisse sous la couette, et vint me serrer dans ses bras. Chaud, et rassurant.

-Enlève moi mon string. Il me fait mal.

Il ce lève, sort un pull large à lui, et un caleçon. Il me fait m'asseoir sur le lit.

-Enlève toi ça. Je ne regarde pas.
-T'as déjà vue mes seins. Tu sais pas comment c'est un sexe féminin ?

Il ne dit rien, tendis que moi je rigole.

-J'arrive pas.
-Fait un effort. Dit-il en croisant les bras derrière sa tête.

J'essaye de l'enlever, mais je tombe tête la première par terre. Le string à mi cuisse, je gémit de douleur et glousse tel une pintade. Il laisse tomber ses bras, abandonne, et viens vers moi. En me voyant étendue par terre, son regard se pose sur ma verge.

-Coquin ! Viens m'aider, plus tôt...

Il me remet sur le lit comme si je ne pèse rien, fait descendre mon string le long de mes cuisses longues, et fines. Me rendant compte de mon sexe non épiler, je le couvre d'une main, puis de deux. Il enlève mes mains, et la presse a ma place. Mes poiles ondulés au contact de sa peau me fait vibrer. Il prend le caleçon, et me le met. Puis vint le moment du pull. Son regard dérive plus d'une fois sur mes seins pointus. Son odeur au contact de ma peau me fait émettre un gémissement.

-Tu sens bon. Articulais-je, pendant qu'il me glisse dans son lit.

J'enveloppe le drap autour de moi, et renifle son odeur à toute narines.

-Viens !

Il ce glisse sous la couette, me met sa capuche et pose délicatement ma tête sur son épaule. L'alcool me donne sans doute des ailes, car je vins enrouler mes jambes autour des siennes. Le sommeil me rattrape, et mes paupières viennent à ce fermer automatiquement, sous le regard perspicace de Yuro.

A suivre...

A desoriented childOù les histoires vivent. Découvrez maintenant