De 1947 à 1949, aux États-Unis d'Amérique, fut conduit le projet MX981 à la base Muroc de l'US Air Force. L'intérêt du projet était de tester la tolérance humaine à la décélération. Les tests utilisaient un chariot propulsé par une fusée et monté sur un rail, avec une série de freins hydrauliques en fin de parcours.
Les premiers tests utilisaient un mannequin attaché à un siège sur le chariot, mais le mannequin fut bientôt remplacé par le capitaine John Paul Stapp. Pendant ces tests surgirent des questions sur la précision de l'instrumentation utilisée pour mesurer la décélération endurée par le capitaine Stapp. Edward Murphy proposa d'utiliser des jauges électroniques de mesure d'effort, attachées aux pinces de retenue du harnais du capitaine Stapp, le but ? Mesurer les forces exercées sur chacune de ces pinces durant la rapide décélération.
L'assistant de Murphy câbla le harnais et un test fut réalisé d'abord avec un chimpanzé.
Cependant, les capteurs indiquèrent une force nulle. Il apparut que les capteurs avaient été montés à l'envers. C'est à ce moment que Murphy, frustré par l'échec dû à son assistant, prononça sa célèbre phrase : « If that guy has any way of making a mistake, he will » (que l'on peut traduire par « Si ce gars a la moindre possibilité de faire une erreur, il la fera. »)La loi de Murphy, son énoncé tauradait l'esprit de la jeune Tamazight, la peur la consumait petit à petit, et à chaque ordre de ces hommes armés, suffisait à resurgir quelques crises d'angoisse. Étaient-ils perdus ? Que leur voulaient ces hommes ? Nul ne voulait y penser.
Une fois en dehors de l'amphithéâtre, un paysage de plus désolant s'offrait à eux, comme si un dieu, prit d'une grande colère décide malencontreusement d'exterminer toute forme de vie dans cette zone.-Ce n'est pas fini. Lança un des hommes armé, ils vont recommencer d'une minute à l'autre...
Après ces mots, l'inquiétude envahit de plus ces étudiants, ils comprirent que cette catastrophe était l'oeuvre humaine. Mais qui étaient ces "ils" ?
Ces hommes restèrent quelques minutes en contemplation, en face de ce paysage funeste et de son air devenu bientôt asphyxiant. La faucheuse jeta son dévolu d'abord sur la végétation. Les herbes, les plantes, les arbres, tout autour qui était vert devint sec et mourut. Le sol désormais en dessus dessous empêchait toute circulation, on constatait à vue d'oeil des blessés graves, quelques morts gîtant dans leur sang, et ces nombreux corps sous les décombres criant à l'aide.
Les bâtiments au alentours, écroulés. Ces antennes, ces kiosques...Rien n'a résisté.
Les bruits incessants de klaxon provenant de ces voitures en folie résonnaient à en crever les tympans. Toute fois, impossible de rater ces cris de détresse et ces alarmes à l'incendie.
Ces hommes armés et en costume noir, avaient des coeurs insensibles, rien ne les faisaient flanché. C'étaient sûrement des commando entrainés pour gérer ces genre de situation.
Une petite fille, âgée de dix ans maximum cria pour qu'on la vienne en aide, les larmes aux yeux, elle s'approche de l'un de ces militaires en tirant sur son pantalon et se mit à balbutier:-Me...Monsieur, aidez mon frère s'il vous plait, il...Il est ensevelit sous ce bâtiment. Dit-elle en pointant du doigts un tas de ruine...il est peut être toujours en vi...
-Sauves toi petite, le sort de ton frère est déjà scellé. Dit-il avec un calme déconcertant
-Agent Carter ! Reprit leur chef de file. Un peu de retenu !
Après cette parole, le dénommé Carter s'accroupit enfin d'être à la même taille que la petite :
-Les secours arrivèrent bientôt, dit-il d'une voix calme cette fois ci.
Aussitôt, les bruits des sirènes se firent entendre, les pompiers et les ambulanciers n'étaient plus loin du lieu du désastre.
-Vas te mettre à l'abris, reprit l'agent Carter, fais confiance à ces services.
-Allons y ! Nous avons assez perdu du temps. Ordonna leur chef
Avec ces quinze étudiants, Ils embarquèrent dans cinq fourgons blindés noirs, aux vitres teintés de même couleur. Ils furent disposés de manière que chaque fourgon contenait quatre personnes en plus des chauffeurs. Sur la route endommagée, les fourgons avançaient en file indienne, animés d'une grande vitesse.
Tamazight encore silencieuse, décide de briser la glace au fur et à mesure que la voiture avance :
-Vous ne nous voulez pas du mal, n'est-ce pas ? S'adressa t-elle à l'agent dans leur fourgon, assis en face d'elle.
Aucun mot ne fut emit de la bouche de l'agent. Mais Tamazight continua:
-Qu'est-ce qui s'est passé à Yuei ? Vous sembliez au courant sur l'origine de cette catastrophe...
-Je vous demanderai d'éviter vos questions, mademoiselle. Rétorqua l'agent avec un ton violent.
Sans se laisser intimider, la jeune femme reprit:
-Mais pourrons-nous savoir où vous nous emmener ?
Après un instant d'hésitation, l'homme céda aux dérangements. Il vérifia d'abord son oreillette pour juger de son bon fonctionnement puis appuya sur le bouton "OFF" au dessus. La petite lumière rouge cessa instantanement de clignoter et l'agent reprit la parole :
-À la zone 93. C'est la première base de la N.A.S.A dans notre pays. Elle est secrete.
-N.A.S.A ?! S'exclama Tamazight. Mais Pourquoi nous amener dans une base de la N.A.S.A ? Secrete par dessus le marché !
-Nous sommes à la veille d'une grande catastrophe...Le monde comme nous le connaissons n'en survivra pas, c'est certain. Et vous. Continua t-il. Dans ces fameux messages, Prométhée vous a désigné comme nos sauveurs...
-Prométhée ? Nous des sauveurs ?
-La dernière promotion de l'astronomie de Yuei. Anticipa t-il
-Mais...De quoi parlez vou...
-Maintenant silence ! beugla l'agent. La route est longue et vos derangement ne sont pas les bienvenus.
Trois longues heures passèrent avant qu'ils arrivent à la leur destination, la fameuse zone 93. L'endroit était éloigné de la ville, et aucun point n'appassait dans le GPS, une vraie zone fantôme ! C'était un grand endroit en carré, de surferficie allant de 86 km² minimum, barricadé par des grilles. Il y avait des miradors dans les quatres coins de la base et des drones survolaient le lieu.
Après que les militaires qui gardaient le portail eûrent inspectés minutieusement les forgons un par un, ils ouvrirent le chemin et les voitures entrèrent.
Les étudiants descendirent des forgons, toujours sous les ordres de ces agents et ne tardèrent à pénétrer le grand bâtiment central. Les agents les conduisirent dans une salle climatisée qui faisait penser à une salle de réunion. Elle possédait deux gigantesques écrans collés aux murs, un projecteur et une grande table ronde, avec des chaises noires disposées tout autour de celle ci. Il y avait vingt bouteilles d'eau sur la table devant chaque siège.
Nos quinze étudiants toujours apeurés, prirent place sous les ordres de ces agents aux noms inconnus.
Peu de temps après, un homme âgé, à la peau ébène aux airs de Morgan FREEMAN fit son apparition dans la pièce. Il avait un costume blanc qui abritait son corps fluet. Il portait des gants noirs et une paire de lunette cachait ses yeux rougis,
rongés par la vieillesse.-Soyez les bienvenus cher étudiants. Marqua t-il sa présence
La salle toujours silencieux à cause de ces étudiants encore timides et réticents. L'homme au costume blanc avança une chaise et prit place.
-Je suis Monsieur Inuyasha, le chargé de communication. Se présenta t-il. Avant de vous expliquer la situation, sachez les maintenant...
Il fit une courte pause, caressa son menton comme s'il cherchait des mots appropriés pour continuer son discours.-Vous !...Hésitant-il. À dater d'aujourd'hui, vous êtes tous officiellement mort. Finit Mr.Inuyasha sur ce suspense.
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ADAMAS
Science FictionDans un monde post-apocalyptique oú la Terre n'est plus qu'un amas de destruction et de désolation, le reste de ses habitants, conscients de sa vulnérabilité face à la franche hostilité que présente désormais leur planète, décident de s'unir afin d...