L'étrnité, c'est long n'est ce pas?
Et encore, la durée n'est rien face à la qualitée de vie. Je suis née à Salem, oui oui la maudite ville des sorcières. En parlant de ces satanées sorcières, je vais vous expliqué ce qu'il s'est passée.
J'étais une jeune fille souriante comme les autres, nous n'étions pas riche mais nous n'étions pas pauvre non plus. Mon père était pasteur, ma mère possédait la meilleur boutique de couture de la ville. A l'âge de 5 ans j'étais déja fiancé au fils du clérgé, Noah, bien que très gentil. je savais de source sûr (lui-même) que je n'étais pas du tout son style.
J'ai eu une enfance heureuse et une adolescence correct (pour ce que ça vaut). Tout se passait merveilleusement bien, jusqu'au jour ou j'ai eu le malheur de croisé son chemin. Alors non ce n'est pas l'histoire d'une fille qui croise un garçon mysterieux qui va mettre en doute ses fiancailles, au contraire. Non, moi c'est une sorcière que j'ai eu le malheur de croisée.
Vous vous demandez surement comment ça se fait que je sois encore la pour en parler? Facile, elle m'a proposée un marché contre ma vie. J'avais un seul petit truc à faire, un petit service sans reperctution, sans importance qu'elle m'a dit. Petit conseil de ma part, quand une sorcière menace votre vie et vous propose de vous épargné si vous acceptez de boire une mysterieuse fiole verte, ne lui faite pas confiance.
Je me suis reveillez le lendemain matin dans mon lit, totalement nue. Jusqu'a la rien d'alaramant vous allez me dire. Sauf que quand je suis sortie de la maison, le village était totalement vide. Pas une âme vivante à l'horizon. Tous complétement disparue. Je suis donc allez dans la foret ou j'avais fais la merveilleuse rencontre de cette sorcière. Je l'ai étonnement trouvé rapidement, c'est la que j'ai compris ou ils étaient tous passé. Une dizaine de piles de cadavre ensanglanté se trouvaient autour de la sorcière, elle aussi grievement bléssée mais toujours en vie. Quand ses yeux ont croisées les miens j'y ai vue de l'horreur, comme si elle était terrifié. En m'approchant j'ai perçu son mouvement de recul. Quand je l'ai questionnée sur ce qu'il s'était passée et la ses yeux ont changés. De l'incompréhension puis de la tristesse et de la pitiée pour moi. Elle s'est relevée lentement, et m'a expliquée que c'était moi. Moi qui avait massacré tout le village. Ma famille, mes amis, les gens qui m'ont vu grandir. Puis elle m'a expliqué ce qu'il y'avais dans le flacon qu'elle m'avait fait boire la veille du massacre. Elle est une sorcière du type experimentale. Elle aime crée des potions qui n'existe pas, il lui fallait absolument un cobay de type humain pour son dernier test, et la faute à pas de chance, c'est tombé sur moi. Elle m'a dit que sa potion était sensé faire sortir notre vrai nous intérieur. Qu'elle pensait que ça ferait sortir les vrais personnalitées des gens, pas leurs demon interieur.
Et c'est la que j'ai remarqué le changement chez moi, face à tout ces morts je n'avais pas tilté, pas de réaction devant les corps meurtris de mes parents, ou de mon fiancé. Je ne ressentais que la paix dans mon coeur. Et j'avais faim aussi, mais ça ce n'est rien.
Mais une question flottait encore dans l'air, que lui était-elle arrivé?
Elle m'a donc dit que c'était également moi, après avoir massacré mon village j'avais trainé les corps un par un jusqu'a elle comme tribu pour la remercier. Elle était horrifié, elle ne voulait pas la mort de tout ses gens, certains peut-ètre, mais pas tous. Elle avait tenté de m'arreter et je l'avais attaqué. Et la ce fut le choque, elle me certifia qu'elle m'avait tué durant cette nuit. Elle m'avait arraché le coeur et je m'étais effondré. Quand elle s'etais retourné pour constaté les dégats, j'avais disparu.
J'étais morte. Je suis morte à vrai dire.
Je suis morte en février 1670. Comme tout mon village.