- Vous complotez quelque chose contre moi, as-tu dit lorsque tu as rencontré tous les membres de cette organisation.
Ils t'ont regardé avec curiosité pour savoir si tu étais vraiment au courant du pari.
- Quoi qu'il en soit, vous ne l'obtiendrez pas, alors s'il vous plaît, épargnez vous le temps et l'effort, ça n'en vaut pas la peine, as-tu ajouté en t'éloignant.
- Où crois-tu aller ? demande Sanzu en te regardant.
- Hum, je veux acheter un café, j'ai vu un distributeur tout près, as-tu commenté si calmement.
- Et tu crois que tu peux sortir quand tu veux ? demande cette fois Ran.
- Manjiro a dit que si je voulais sortir, quelqu'un devait venir avec moi, veux-tu que je choisisse ou dois-je vous donner la chance de décider entre vous ?
Tout le monde est resté silencieux, te regardant entre eux, attendant que quelqu'un prenne cette position volontairement.
- J'interprète ce silence comme signifiant que personne ne veut venir avec moi, mais il faut bien que quelqu'un le fasse. Alors je vais choisir, dis-tu en t'approchant de Kakucho. Tu viens avec moi, tu lui pris la main pour commencer à le tirer.
- Hein ? Moi pourquoi ? dit-il tandis que tu l'entraînes.
- Tu as l'air moins dangereux.
Ses compagnons riaient de la situation, ne l'aidant en rien et se moquant de la raison pour laquelle vous l'aviez choisi.
- Je suis surpris que tu te laisses tirer par moi, es-tu du genre à suivre aveuglément tes chefs ?
- Ou peut-être que je suis juste coopératif, tu préfères que je te ramène ? demanda-t-il en haussant un sourcil.
- Tu ne le ferais pas, répondis-tu calmement en le regardant et en le relâchant lorsqu'ils atteignirent le distributeur automatique.
Tu introduisis un ticket et choisis ce que tu veux boire. Kakucho se contenta de s'appuyer contre un mur pour t'attendre. Tu pris la canette et l'ouvris pour commencer à la boire. À côté du distributeur il y avait un banc, tu t'y assis.
- Qu'est-ce que tu fais ? Il faut qu'on y retourne.
- J'attends que tu me ramènes, dis-tu en buvant une autre gorgée.
- Allez, on n'a pas le temps de...-
- J'ai tout mon temps, dis-tu en le coupant et en buvant, sans même le regarder.
- Ne me complique pas la tâche.
- Tu ne fais que me compliquer la tâche, tu pourrais prendre mon bras, tu le lui tends. Et le tirer, tu crois que je me battrais, pourquoi tu ne veux pas le faire ?
- Ahg ! il s'est assis à côté de toi, les bras croisés. J'espère que tu auras fini dans cinq minutes et nous reviendrons.
- Pauvre âme, tu n'es pas capable de prendre des décisions par toi-même, tu as continué à boire.
- Je ne voulais pas tirer sur une femme !
- Mmhh... tu marmonnes en détournant le regard.
- Est-ce qu'il est possible d'avoir une conversation normale avec toi ?
- Je suis désolé, mais je n'ai aucune empathie pour les gens que je ne connais pas, tu t'es levé et tu as jeté la canette dont tu avais déjà fini le contenu.
- Allez ?
Il te fixe avant de soupirer et de se lever de son siège.
- Pourquoi m'as-tu choisi ? il te regarde fixement alors que tu retournes à la table.
- Je te l'ai déjà dit.
- Tu as dit que j'avais l'air moins dangereux, comment décides-tu de cela ?
- Tu penses que parce que tu as cette cicatrice sur le visage, je te trouverais plus dangereux ? Les cicatrices ne montrent pas la peur, elles montrent la douleur, dis-tu en prenant ses joues dans une main. D'ailleurs, tu avais l'air de passer un mauvais moment avec ces hommes, tu es donc le bienvenue, tu le lâches et tu retournes dans la chambre.
Tu retournes directement dans la chambre qui t'a été attribuée.
- Hé Hajime, Sanzu arrive en souriant.
- Ne m'appelle pas par mon nom, dit l'autre avec une grimace.
- Ne sois pas si rabat-joie, tu as une idée de la façon dont on peut la briser ? Puisque tu ne joues pas dans le pari, tu peux bien nous aider ! dit-il en riant légèrement.
- Ah... Je crois qu'ils vont avoir du mal, il se gratta la nuque.
Le jeu était lancé à partir de maintenant, et tu étais prête à tout.
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Psicología en contra | 𝐁𝐎𝐍𝐓𝐄𝐍 (𝐓𝐨𝐤𝐲𝐨 𝐑𝐞𝐯𝐞𝐧𝐠𝐞𝐫𝐬)
FanfictionDès qu'il t'a vue, il a remarqué quelque chose dans tes yeux qui a attiré son attention. Il s'est empressé de te faire partir avec lui, pour que tu restes à ses côtés. Qui aurait cru que vous passeriez de son bureau à l'une des organisations les plu...