And you don't even feel a thing

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Bonsoir...

Cette voix, je l'a connais. 

J'ai trouvé la clé ! je la sors la met dans la serrure la ressort et pousse la porte de chez moi pour entrer, à aucun moment je ne me retourne pour ne pas me faire perdre du temps. Je commence à fermer la porte quand d'un coup quelque chose la bloque. 

Non, Non, NON

Je pousse une seule fois, mais de toutes les forces qu'il me reste et quand la peur prend le déçu sur votre corps elle peut vous amenez loin, c'est-à-dire que j'ai réussi à fermer la porte et à m'enfermer à double tours. Une fois chose faite je supprime le message que j'avais envoyé à ma mère pendant que j'étais dans le taxi, je vois qu'elle ne l'a toujours pas vu elle doit être encore à une de ses réunions. Je ne veux pas qu'elle s'inquiète ou qu'elle panique je n'ai pas envie de retourner dans le New Jersey. 

Cette voix, je l'a connais, mais je ne me rappelle plus d'où elle vient. 

Elle met familière.

Je commence à me rapprocher de la porte d'entrée, le judas, il faut que je regarde dans le judas pour voir si cette personne est toujours là. Mes mains tremblent, elles sont toutes moites et collantes, Il mio cuore (mon coeur) il bat à 1000 à l'heure. Je me poste juste devant la porte, mais pas collé à celle-ci. J'essaye d'écouter pour savoir si l'individu est toujours là. 

Pas un bruit. 

Je lève alors le judas toujours avec cette peur persistance au fond de moi, puis regarde ...

Rien, je ne vois rien. Quoi que en bas de ma porte d'entrée je vois quelque chose mais ne serai dire ce que c'est. Si cela est pour moi ça attendra demain matin, personne ne risque de me piquer il n'y a que des vieux dans cet immeuble, au moins je ne suis pas embêté par les soirées à trois heures du matin. 

Je vais donc prendre ma douche en écoutant ma playlist, une fois sorti de la douche j'entends de nouveau des bruits. Cette fois-ci c'est comme si il y avait quelqu'un qui cogner quelque chose par terre du style des coups de pieds dans le sol, il n'y a pas beaucoup d'épaisseur dans les murs alors j'entends tous ce qui se passe dans le couloir qui mène aux escaliers. Je prends mon téléphone, je m'avance tout doucement vers la porte. BIP BIP BIP. Mon téléphone !

-fottuto stronzo ! ( putain connard ! )

C'est ma mère qui m'appelle alors je lui réponds. 

-Salut mamma, qu'es ce que tu fais encore debout à cette heure-ci ?

-Buonasera figlia mia, sono appena tornata dall'incontro, come stai, il tuo primo giorno, è andato bene ? ( Bonsoir ma fille, je viens de rentrer de la réunion, ça va ton premier jour c'est bien passé ?) 

-Sì, molto bene mamma stavo andando a letto. ( Oui très bien maman j'allais au lit.) 

-Bon bien ma fille, j'espère que tu as bien mangé se soir et que tu dormiras bien bonne soirée ma puce, Ciao Rosa. 

-Ciao mamma. 

Une fois que j'ai raccroché, je m'avance donc vers ma porte l'ouvre et la par terre, je vois un bouquet, un bouquet de Rose, les préférés de mamma. 

Je le prends puis regarde à droite, personne, puis à gauche, personne.

Je rentre dans mon appart avec dans mes bras, se bouquet, je le pose sur le comptoir et me poste sur un tabouret pour l'observer. 

De qui peut venir ce bouquet ? Je ne connais personne ici, à par Youri la nouvelle danseuse et cette fille de l'université mais elles ne savent pas que j'habite ici, dans cet immeuble. Je le sens pas cette histoire, genre vraiment pas... 

Pour une roseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant