Ici sont présentes tous mes os et histoires courtes d'osasuna que j'ai regroupé en une histoire !
Bonne lecture !
Les personnages et l'univers appartiennent à Haruichi Furudate.
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Nuit de décembre. Ma chambre n'était qu'éclairée que par les leds présentes au plafond, diffusant une faible lueur verte. Il doit être aux alentours de vingt-deux heures, mon frère est dehors avec ses amis, et moi je suis seul dans notre appartement.
Je me lève de mon lit pour augmenter la température du chauffage... Avant de retourner sur mon lit et continuer de scroller sur mon téléphone...
J'étais sur les posts de nourriture quand soudain, Suna entre dans ma chambre par la fenêtre. Nos appartements étants à côtés, et nos chambres en face, on communiquait, et surtout entrions par cette fenêtre. On pouvait l'ouvrir par l'extérieur sauf si on la verrouillait. Ce que je ne faisais jamais sinon mon meilleur ami m'en voudrait...
Son visage est baigné de larmes.
Ce que je remarque ensuite est qu'il porte un sweat à moi (reconnu tout de suite à l'énorme onigiri qui est dessus). Il descends de la chaise posée devant la fenêtre et me rejoint à petits pas.
Qu'est-ce qu'il a encore ?
La semaine dernière, il était venu me voir en pleurant parce que son personnage préféré de sa série mourrait.
Il parcourt les quelques pas nous séparant et vient s'assoir sur mon lit.
Il me regarde dans les yeux durant de longues minutes.
Puis, enfin, reniflant, il déclare :
— Je veux un câlin.
En soupirant je le prends dans mes bras. Il s'y blottit, et pendant de longues minutes, reste silencieux.
Je caresse ses cheveux étant donné que monsieur ne daigne pas me montrer son visage.
Il est mignon...
Je continue ma visite sur les réseaux, essayant de me distraire de cet être qui vient envahir mon espace privé.
Je cherche de nouvelles idées de plats. Il faut dire qu'Atsumu ne fait qu'en réclamer...
— Samu ?
— Oui Rin' ?
Il reste silencieux...
— Qu'est-ce qu'il y a ?
Silence...
On dirait qu'il hésite à parler...
— Tu... tu seras toujours mon ami ?
— Bien-sûr Rin'.
Je soupire : Suna avait tendance à se poser des questions idiotes.
