Naël : C'est de ta faute tout ça.
Moi : Je... Je suis désolé bébé *pleure*.
Naël : Wallah, tu m'as anéanti, j'ai mal au cœur.
Je ne savais même pas comment le consoler, il était effondré et moi ? J'en pouvais plus, j'en avais assez de recevoir tant...
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Amina : C'est vraiment incroyable, il ne blague pas, Naël.
Sarah : Vraiment.
Moi : Vous avez cru quoi ? Bien sûr, c'est quelqu'un, lui.
La musique résonnait et la villa était juste magnifique.
Naël nous avait payé un taxi pour nous ramener, bien sûr, et on venait juste d'arriver. Je ne l'avais pas encore vu.
Sarah : D'ailleurs, il est où ?
Moi : Je ne sais pas.
Je prends mon téléphone et lui envoie un message pour savoir où est-ce qu'il était. Il me répond dans la minute.
Naël : « Là. »
Moi : Il m'a dit qu'il est là.
Amina : D'accord, par contre, j'ai faim.
Moi : Moi aussi.
Sarah : Pareil.
Moi : Qui va chercher, du coup ? Moi, je ne vous mens pas, j'ai la flemme de me lever.
Amina : De toute façon, on savait que tu n'allais pas y aller.
Sarah : De fou, viens, on y va, Ami.
Elles se lèvent et partent chercher à manger. Moi, j'étais là assise toute seule, je faisais pitié clairement. En plus, Naël, je ne l'avais toujours pas vu. Je souffle et m'enfonce un peu plus dans le canapé quand je sens des mains se poser sur mes yeux.
Je savais déjà que c'était Naël. Il n'y a que lui qui a cette odeur mi-propre et d'une autre que je ne saurais décrire.
Moi : Naël, je sais que c'est toi.
Il enlève ses mains et s'assoit à côté de moi. S'il pouvait se mettre sur moi, il l'aurait fait tellement il me collait.
Lui : T'es venue seule ?
Moi : Non, mes copines sont parties chercher à manger.
