Chapitre 25

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ESPOIR.

<<  Pas besoin de vous rappeler que ma vie était devenu un vrai merdier.

Mais j'avais la chance d'avoir à mes côtés un rayon de soleil.
Elle était toujours là, elle me réconfortait et ce durant ces quatre mois.

Son ventre était devenu rond, sa peau était devenu plus éclatante, elle était radieuse !

Malgré tout, j'avais quand même envoyé ce que Madina m'avait demandé.
Oui ! J'avais décidé de croire en elle plutôt qu'en sa tante qui voulait sûrement ma mort.

Je lui avait écrit également pour lui annoncer que Rubis était enceinte et lui demander si sa solution prennait la grossesse en compte mais elle ne m'avait pas répondu. D'ailleurs c'etait comme si elle avait encore disparu.

Après, je comprenais ses agissements... Il ne fallait pas que sa tante apprenne qu'elle était en train de m'aider.

Mais, ma femme allait tellement bien que je commençais à me demander si cette histoire de malédiction n'était pas un mythe finalement.

On était donc au matin de mon anniversaire et Rubis fut la première à se lever.

Elle était tellement excitée à l'idée de pouvoir organiser une fête pour moi.
Elle avait plein d'énergie à dépenser et la voir ainsi me rendais heureux.

Après avoir pris ma douche et avoir pris mon petit-déjeuner, elle m'accompagna jusqu'à ma voiture et me chassa presque. Je n'avais pas le droit de revenir tant qu'elle ne m'avait appelée. 

Arrivé au travail, mes collègues m'avaient accueilli avec des joyeux anniversaires et un gâteau assez délicieux.

La journée se passa dans la bonne humeur et à l'heure de rentrer, j'allais m'asseoir avec le gardien pour bavarder un peu vu que je ne pouvais pas rentrer. 

Pendant que je patientais, mon smartphone à la main et la joie au cœur, celui-ci se mit à vibrer. C'était le numéro de la maison qui s'affichait. 

Allô, dis-je avec enthousiasme. 

Oui allô, monsieur

C'était le gardien et sa voix ne contenait aucune joie. 

Oui Ali, qu'est ce qu'il y a ?

monsieur, c'est madame... Elle...

Elle quoi ? dis-je en me levant brusquement de ma chaise.

Elle s'est évanouie. Madame Aby et la gouvernante l'ont emmené à la clinique.

Sans même raccrocher mon téléphone, je saisis mes clés de voiture avant de courir vers celle-ci. 

Je conduisais à vive allure tout en priant pour que ça ne soit rien de grave. 

Une fois à la clinique, j'allais directement vers l'accueil. 

— Effectivement, nous avons reçus votre épouse ici il y a une heure ! me répondit la réceptionniste en manipulant son ordinateur. 

LES AMOUREUX MAUDITS: Quand L'au-delà S'en Mêle.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant