Chapitre 2: Lui

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-"Merde, merde, merde."

Le regard fixer sur cette porte d'entrée qui, d'une minute à l'autre peu exploser. Mais ils ne se sont pas encore introduit dans le troisième étage ou je me trouve.
Le peu de temps qu'il me reste pour dégager de cette foutu baraque, avant de me faire tuer.
Je me dirige précipitamment vers ma chambre pour prendre quelque affaire dans un sac, mais je laisse tomber car le temps me rattrape. Je me regarde dans le miroir de la salle de bain. Mes cheveux sont long, mes yeux son dessiner de cerne bien voyante, mon teint est pâle, et mon coeur ne cesse d'accélérer, l'adrénaline monte, je doit me dépêcher.
Une explosion se fit entendre au première étages.
Je suis tétanisée. Impossible de bouger, je suis clouer au sol.

Ma vie est foutu.

Où pourrais-je aller ? Aucune sortie.
Aucune chance.

Aller, Blaire, c'est pas le moment de perdre espoir.

Me dit ma conscience.
Je ferme mes yeux. J'inspire à fond. Quelque seconde passe, les cries strident des innocentes victimes se fit entendre dans l'immeuble. Elles se font massacrer. Je doit y arriver !

Il le faut.

Je souffle un bon coup, insère un couteau caché dans ma botte, je recharge correctement mon Luger, mon arme, que je garder précieusement pour un jour... Un jour comme celui-ci. Je passe de l'eau à toute vitesse sur mon visage pâle et effrayer, tout en écoutant le cri de souffrance des innocents. Je referme la porte de ma chambre à clef de l'extérieur pour qu'ils croient que je suis enfermé dans celle-ci. Je ferait alors diversion, en me cachant dans la petite penderie du salon.
Je referme les deux portes de ma cachette.
Mon souffle s'accélère, je me muni de mon armes, et l'approche de mon visage.
Je ferme les yeux, écoutant le vacarme que produit ces infâme criminels.
Ils tue. Pour leur propre plaisir.
Pour... S'amuser ?
Les grincements d'escalier m'havertie qu'il sont à proximité.
Tendis que les tueurs s'approchent, je vérifie que mon Luger soie bien charger.
Soudain, j'entends un bruit, comme si on poser un objet sur ma porte.

-"Allez, faite moi exploser cette porte !"

Cette voix... C'est celui du chef.

Ne pleure pas, Blaire, tu est une fille forte...

Le bruit de l'explosion me fit sursauter, ma respiration s'accélère à un point que je ne la contrôle plus. Des perles de sueur glisse sur mon front, mes main tremble, je souffle un bon coup, ferme les yeux, et m'oblige à respirer moins fort, quand les meurtrier entre dans la pièce principale, la cuisine. Ils fouilles, retourne tout les meubles. Il casse les assiettes, marche d'un pas rapide dans tout les sens.
Je voie à travers, les yeux river sur ces hommes tatoués, percer, portant tout type d'arme sur eux. Quelques-un porte des gilet par balle, d'autre son vêtu de simple tee-shirt, ou blouson. J'écoute attentivement, et regarde fixement tout leur faits et gestes.

-"Dans la chambre."

Chuchote l'un d'eux.
Voilà qu'il démonte la porte de celle-ci avec le manche d'une kalachnikov.
Merde... Le chef, le jeune criminel. Il marche d'un pas lent. Je ne l'avait pas remarquer. Il est proche de moi, il contemple les cadres de photo, poser sur l'étagère en bois. Il en prend une dans ces main ensanglanté, je remarque qu'il passe son pouce sur ma tête photographier.

-"Hé, chef ! Personne dans la chambre !"

Je retiens péniblement mon souffle, avec ma main poser sur ma bouche.
Il remet délicatement le cadre sur l'étagère.
Je ne distingue pas son visage, mais je peu apercevoir ces tatouage, noir et nombreux. Habiller d'un simple tee-shirt blanc, ample, du sang gisant sur celui si, ainsi qu'une ceinture ou est ranger des armes à feu, des gants noir montrant les bout des doigt, un jean noir avec des gros trou au genoux, des bottes de militaires salie de boue. Il est plutôt grand et fin. Son regard et poser sur cette armoire étroite.
Il s'approche de celle-ci, pas à pas, les yeux river à travers les ouvertures verticale.
L'ombre atteint mon visage pâle, effrayer mais forte. Je coupe mon souffle. Il est à quelque centimètre de moi.

-"Chef, on-"

Il l'arrête sèchement d'un signe de main.
J'arrive à apercevoir son visage... Soudain, je me demandais comment un tueur, un criminel, un infâme individu sans coeur, peut être étonnamment... Sublime.
Ces yeux sont d'un éclat fascinant. Il incarne le Diable en lui, en ayant un visage Angélique.
Ces yeux gris, percé les mien, je reste bouche bée. Sa fine lèvre rosâtre laisse échapper sa douce respiration. De la où je suis, et de la ou il se trouve, je peu la sentir. Son souffle, l'odeur de la cigarette, et de l'alcool à la menthe. Il porte un piercing sur son arcade sourcilière et sa lèvre. Ces cheveux son ébouriffé d'un noir si sombre. Je peu remarquer sont demi-sourire sur ces lèvre.
Les veines se faisant voir sur ces bras, et sont coup. Je n'est jamais vue, ni ressentie, une tel chose. Tout mes émotions se mélange. Effrayer, mais fasciner par cette beauté surhumaine.
C'est incroyable.
Mais gardons en tête que c'est un criminel, qui tue pour sont propre plaisir.

-"Les gars, monter en haut, continuer sans moi, je vous rejoint."

-"BIEN CHEF !"

S'écrit les hommes, taché de sang, les bras recouvert de tatouage noir. Ils s'écartent peu a peu de leurs chef, tendis qu'il continu a chercher mon visage à travers ces fine ouverture.
Je m'apprête à reculer vers le fond pour éviter qu'il me remarque, mais... Je crois que c'est trop tard.

Sa main se dirige sur le petit loquet.
Mon flingue à la main, je me prépare au pire.

-"Je sais que tu est la."
Murmure t-il d'une voix si douce.

A ce moment la, il ouvre les deux portes d'une vitesse et brutalité qui me fait reculer à presque m'enfoncer dans le mûr de derrière.
Je pointe mon arme contre sont crâne. Mes bras ne bouge plus, il sont droit près à tirer. Je ne tremble même plus. Les sourcils froncés, le regard chargé de haine, et la confiance qui revient.

-"Tu est aussi belle que sur la photo ma douce."

Cela ma fait déstabiliser, il en profite et en quelque seconde, je me retrouve contre le mûr, le couteau à la gorge, son visage près du mien, impossible de faire ne serais-ce un mouvement, il me bloque, sont genoux force sur ma jambe, me laissant échapper des gémissement de douleur.

-" Tu va souffrir..."

Night Of PurgeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant