🔞 Romance prof/élève ☆ Slow Burn ☆ EnnemiesToLover ☆ Université 🔞
☆ Zélie et Rio, vont vivre une relation interdite. Un amour impossible ☆
☆ Ça ne devait être qu'une parenthèse, juste une soirée pour oublier tous ces interdits, qui leur dictent de...
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70 ☆ Rio
Place aux jeux !
☆☆☆☆
Encore une fois, j'avais raison. Les burgers commandés n'arrivent pas à la cheville de ceux que l'on sert au Bistrot. En cinq bouchées, ils ont été engloutis par mes potes, qui restent sur leur faim.
Heureusement, Paloma a prévu le coup et en a commandé deux supplémentaires en précisant qu'une bonne soirée rime avec pizzas, bière, musique et sexe.
Du coin de l'œil, je surveille son comportement avec mon pote ainsi que celui de Marco avec l'autre kiné. Et si Zélie ne m'avait pas mis au courant de la situation, je n'aurais rien soupçonné.
Ils discutent, rient, chantent avec leur binôme respectif. Et je suis soulagé. Mon idée de venir ici était pour décompresser, alors je n'ai pas envie de me prendre la tête avec ça.
Zélie termine de croquer dans une part de pizza au chorizo et se lèche les doigts avant d'en faire autant avec ses lèvres.
— J'espère que tu te rends compte de la torture que je suis condamné à subir.
— Ah, bon ? elle me défit en passant à nouveau sa langue sur les contours de sa bouche.
— Espèce de Chipie... Tu vas me le payer, j'ajoute quand elle se met à sucer son index puis son pouce.
— Elle veut ta mort, mec, me chambre Caroll.
Zélie lui donne raison quand je vois ma belle brune se lever et se diriger vers moi de sa démarche féline. Tentatrice. Elle a plus les traits de Vénus à ce moment-là. Et j'en suis d'autant plus persuadé lorsqu'elle vient s'asseoir à califourchon sur mes jambes. Les pans de sa robe remontent légèrement sur ses cuisses.
Je capture sa taille d'une de mes mains tandis que l'autre se referme sur sa nuque pour l'attirer vers moi et l'embrasser. Fougueusement, ma langue se faufile entre ses lèvres entrouvertes. La sienne suit le mouvement avant d'imposer son propre rythme.
Les sifflets de mes potes s'élèvent dans la pièce insonorisée comme s'ils n'avaient rien d'autre à foutre que de nous mater.
— Occupez-vous de vos culs ou de celui de vos binômes ! Bande de crevards !
Les rires percutent les murs pour mieux nous revenir.
— On devrait calmer le jeu, me souffle ma Déesse après avoir enflammé toutes les cellules de mon corps.
— Je n'en ai pas envie, j'insiste en mordant sa lèvre, que je suce pour atténuer l'attaque.
Mon front terminesur le sien, laissant nos souffles se confronter, se mélanger pour tenter l'autre de l'aspirer. Pour qu'elle reprenne possession de ma bouche. Mais elle n'en fait rien. Zélie préfère que cette frustration continue de nous bouffer, alors qu'elle bouge son corps en rythme avec la musique.
