-• XIV •-

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On atteignait le bout du comté et on s'arrêtait, ébahi par la vue qui nous était offerte. Le vent et les arbres verts chantaient en rythme, et l'eau, l'étang a l'eau pure et claire semblait frissonner de bonheur à cette douce musique. Nous retînmes notre respiration pour ne pas troubler pour ne pas troubler cette tranquillité sublime et...

𝐑𝐄𝐕𝐈𝐄𝐍𝐒 𝐄𝐓 𝐑𝐄𝐕𝐈𝐒Où les histoires vivent. Découvrez maintenant