J'écris des poèmes d'amours et d'amitié,
Mais celui là est pour te vanter,
Hô amour perdu,
Hô amour éphémère.
Tu sais, ces amourettes de vacances,
Ces amitiés en vacances,
Qui te manquent une fois seul.
Tu sais, ce sentiment de solitude,
Ce sentiment de mourir en coquille vide,
Qui apparaissent une fois seul.
Tu sais, ce monde sans couleur,
Ce monde gris, ce monde sans vie,
Où plus rien ne bouge, où plus rien ne vie...
Ce poème, ces quelques vers,
Sont écrite d'une plume triste,
Assistant à une scène aussi grise que le brouillard,
Perdu dans la pluie, dans le noir.
Tu sais ce monde, qui état vert et bleu auparavant,
Est aujourd'hui triste trésor,
Trésor perdu au fond d'un abîme,
Au fond de mes souvenirs.
Ton visage, ta voix eux aussi le sont,
Perdu dans le brouillard à jamais,
Car derrière le brouillard, c'est la nuit,
Une nuit sans étoile, une nuit sans lune.
Car j'ai décidé d'aller chercher une étoile,
Plus que la Lune, Lune triste, grise
À côté de ton éclats.
L'éclat de l'étoile du Berger,
Qui me guide vers le Nord,
Vers une étendue glacée, blanche et sans vie.
Sans vie, mise à part moi, et des êtres insignifiants,
Ainsi que quelques rares ours,
M'indiquant comment sortir de ce piège,
De cet étaux qui se referme,
Autour de ma gorge, et m'étouffe.
Cette entaille dans ma main, cette lame
Qui me font peu à peu oublier,
Que je suis humain, que je suis vivant,
Et que la vie, fus autrefois bleue et verte.
Ta voix provoque en moi un ouragan,
Un tempête comme lorsque les vents soufflent en mer
Mais provoque bien plus que quelques remous,
Des vagues gigantesques, des tsunamis,
Qui envahissent et retourne mon cerveau...
