cabane -
mon corps est devenu hermétique au monde.
alors je meurs pour espérer retrouver un jour de quoi le remettre en vie,
comme un pantin pendu au bout de sa corde.
alors je regarde le monde danser,
désespérément.
je danse danse danse autour de mon feu de joie mon feu d’amour et de tendresse - je me décompose -
je me cogne au mur du son et j’hurle sans un bruit,
je m’efface et je disparais dans le fracas des néons rouges- bunker
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aujourd'hui comme tous les jours je vais mourir
Poetryil est minuit déjà et il est l'heure pour moi d'aller dormir, un carré de soie blanche sur le visage, mort-e dans le sommeil