Pourtant je t'aime encore

Que c'est il passé (26)

Pdv

Arrivés à l'hôpital depuis une heure maintenant, kushina et mikoto dont pris en charge par les médecins. Minato et fukagu alertés par l'hôpital rejoints immédiatement les urgences en apprenant l'évacuation de leurs deux épouses. De leurs côtés Naruto et Sasuke n'ont pas étés prévenus car leurs pères ne préférés pas les inquiétés encore plus avec ce qu'ils ont appris il y a encore peu de temps.
Nos deux  patriarches arrivent et vont directement vers l'accueil, le personnels en les voyants, se figent ,

Minato : bonsoir, dites moi où sont nos femmes,
Secrétaire : euh !! bonsoir oui tous de suite,

nos deux pères attendant inquiet de savoir où sont  leurs femmes,

Secrétaire : Messieurs, vis femmes ont étés installés dans une chambre, le médecin qui c'est occuper d'eux arrivent,
Fukagu : ok merci Mlle. Allons nous installer à côté Minato,

Minato hoche la tête et ils rejoignent le banc à quelques pas d'eux. Sa fait une demi heure que nos deux pères attendaient sachant toujours rien la tension commencer à monter. Le médecin arrive enfin vers eux, voyant le visage des deux hommes, il déglutit,

Médecin : bonsoir, messieurs, désolé de vous avoir fait attendre,
Minato et fukagu : bonsoir , docteur,
Minato : dites nous qu'est il arrivées à nos femmes,
Fukagu: ne nous faites pas plus perdre du temps,

le médecin déglutit pour la seconde fois mais leurs annonces tout de même,

Médecin : bin, on leurs à fait passés des examens à toutes les deux, c'est pour cela mon retard. Mais on a rien trouvés d'anormal , leurs examens sont tout à fait normaux,
Fukagu : mais dans ce cas pourquoi elles sont ici,
Minato : comment les avont ont trouvées docteur,
Médecin : d'après les informations notés ici, elles étaient sur un parking d'un restaurant. Le couple qui étaient en leurs présences,disaient qu'elles étaient figées, sans pouvoir parler, elle suffoquer même. Ils ont appelés et essayer de faire calmer leurs angoisses,
Minato : leurs angoisses, elles n'ont jamais eut cela jusqu'à présent,
Fukagu : oui nos femmes n'ont jamais étaient jusqu'à être angoissées, docteur,
Médecin : donc c'est dû à autre chose mais quoi, je ne peut vous répondre seule vos femmes ont les réponses. Ont les à donner des calmants pour les calmer. Je les gardes tout de même pour ce soir en observation et pourront rentrées demain,
Minato et fukagu : d'accord merci docteur,

Le médecin repart vers d'autres consultations pendant que nos deux pères de posent désormais des questions sur ce qui c'est passées réellement. Leurs femmes eurent des angoisses pour eux deux c'est le première fois, qu'ils entendent cela. Mariés depuis des années, ils se sont toujours demandés,si leurs femmes étaient bien humaine, n'ayant jamais eut quoique ce soit concernant les maladies ,dépression, angoisses. Donc 0oyr tous les deux elles étaient infaillible à leurs yeux, des femmes dont ils sont fières,

Minato : qu'est ce que tu en penses fukagu, c'est étrange non,
Fukagu : oui, je pense aussi, même jusqu'à aujourd'hui, je ne me serais jamais douté entendre cela un jour,
Minato : maintenant on a la preuve, qu'elles ne sont pas invulnérable,

fukagu hoche la tête, sourire aux lèvres, que Minato rendit,

Fukagu : tu l'as dis, maintenant elles devront nous expliquées coûte que coûte, Minato,
Minato : je suis bien d'accord,

ils décident de rentrés, ils préfèrent revenir demain préférant laissées leurs femmes se reposer. Il est huit heures du matin et Minato c'est déjà préparer devront se rendre à l'hôpital avant de se rendre à son bureau. Ils devront se rejoindre avec fukagu à l'entré des urgences dans une bonne demi-heure. Il profite dans le calme du matin pour prendre son petit déjeuner dans un silence olympia mais doux du matin. Il est huit quarante cinq, et voilà nos deux patriarches à l'accueil,

Minato : bonjour, Mme, pourrions nous avoir la chambre de nos femmes s'il vous plaît,

la femme de l'accueil lève les yeux et les ouvrit de surprise en voyant qui se tenait face à elle. Elle se redresse rapidement,

Secrétaire : euh !! Oui bonjour, messieurs, c'est la chambre 333 étage deux au fond du couloir,
Fukagu et Minato : merci,

ils sont vont vers l'ascenseur qui les conduira à l'étage deux ou se situe la chambre des deux femmes. Nos deux pères avaient préparer depuis toutes cette nuit , les questions qui devront être répondu par nos deux mères.  Pour toutes les deux allongées dans leurs lits, discutant comme si rien ne c'était produit le jour d'avant. Même le médecin n'en revenait pas, hier elles étaient comme sans âme et la ce matin tout était restée encore plus normal. Elles entendent frapper et fit entrées, nos deux patriarches se montrent enfin. Les deux femmes surprises, se tuent et leurs sourires faiblis, nos deux hommes avaient finalement remarqué leurs changements soudain. Ils se demandaient si elles avaient fait cela dû à ke retrait des discutions concernant les entreprises y'a peut de temps. Mais pour le savoir, ils devront leurs posées la question,

Minato et fukagu : bonjour, a vous deux,
Kushina : bonjour, Minato,fukagu,
Mikoto : bonjour, chéri , Minato,

après cela le silence, c'est vraiment surprenant le changement d'atmosphère qui c'est installé dans la chambre de trente mètres carrés. Nos deux patriarches étaient désormais certains que quelque chose se passent mais quoi exactement. Tandis que nos deux femmes pensaient à comment dire ce qui c'étaient passées avant leurs venus au urgence. Leurs rencontres avec ce Orochimaru, c'était un dilemme pour toutes les deux sachant très bien, qu'elles sont poing liés à Orochimaru,

Minato : bon kushina, tu peux m'expliquer pourquoi tu es à l'hôpital surtout que jusqu'à présent rien ne pouvait atteindre,
Fukagu: pareille pour toi, mikoto, et de plus vous allez tout à fait bien, lors de vos examens,
Mikoto : ont c'étaient juste senti un peu faiblit, c'est tout,
Kushina : oui, c'est sa, une nourriture qui n'a pas passer, vu qu'ont étaient toutes les deux au restaurant hier soir,
Minato : ok, donc dites nous pourquoi être angoissées jusqu'à rester figées lorsque ce couple vous ont parlés,
Fukagu: c'est pour sa qu'ils ont prévenu les secours vous ne pouviez dire quoique ce soit, ni même bougées jusqu'à ce matin,
Kushina : c'est arrivé d'un coup et on a paniquées,
Mikoto : je vous assure quand vs très bien maintenant pas la peine de faire tout un drame, pour si peut,
Kushina : comme quoi on est pas à l'abri des maladies,

les deux hommes se regardent incrédule fasse à leurs dires mais c'étaient leurs femmes. Qui de lieux qu'eux-mêmes pouvaient savoir ce qu'elles avaient,

Minato : d'accord, chérie, je te raccompagne donc à la maison,
Kushina : non, chéri, tu dois aller au bureau, ne te dérange pas je vais rentrée ensuite,
Mikoto : moi aussi chéri, allez y , on va rentrées toutes les deux, je vais appeler le chauffeur,

les deux hommes hochent le têtes et n'ont les embrassés avant de se rendre à leurs bureaux. Nos deux femmes soufflent enfin, soulagées mais s'attendre désormais à recevoir d'ici-là l'appel de ce Orochimaru. Elles espèrent trouvées une solution d'ici-là et très vite sera le mieux.

Suite prochain chapitre.