Juliette & Roméo

Chapitre 7

Je me réveille à onze heure, il neige dehors. Je me lève doucement en repensant à hier, j'aurais du me retourner et lui dire que nous avons une chance de devenir ami, une grande même, j'ai tout fait foirer. Pourquoi, dois-je toujours tout rater. Si seulement je pourrais retourner dans le passé pour pouvoir corriger cette grossière erreur. Je regarde mon téléphone et j'aperçois une notification m'indiquant que j'ai reçu une message texte. Je regarde, c'est Félix qui me demande si je veux aller magasiner avec lui aujourd'hui, j'accepte sans hésiter. Il répond qu'il sera devant chez moi dans une heure. Je sors du lit en courant, j'enfile une paire de jeans noir, avec un chandail noir et un manteau de cuir rouge. Je trouve ma paire de bottes préféré sous mon lit, mais que font-elles là? Parfois il ne faut pas se questionner sur l'état de ma chambre. Je cours dans la salle de bain. Mes cheveux ont l'air d'avoir été dans un tsunami. Je ne peux point me présenté comme ça! Je sors mon fer plat et me lisse les cheveux. Lorsqu'il sont enfin plat, je descends dans le sous-sol et prends un poche de sang, je l'aspire en vitesse supérieur, Félix cognera à ma porte dans quelques instants. Je remonte les marches, prends ma brosse à dents et me brosse les dents pour enlever l'odeur du sang. J'entends le son de la cloche et mon père qui se dirige vers la porte pour ouvrir. Je dépose ma brosse à dents, crache dans le lavabo, récupère ma sacoche au moment où mon père me crie de descendre. Je vais en bas d'un pas calme, comme si cela ne faisait pas une heure que je coure à gauche et à droite pour être prête à l'heure. Mon père me regarde avec un air me demandant qui est cet humain qui cogne à la porte. Je sais que ce soir je risque d'avoir des sérieux problèmes, puisque je n'ai pas averti mon père de ma petite sortie. Je fais les présentations. Félix se comporte en vrai gentlemen. Je prends mon manteau et l'enfile. Félix m'ouvre la portière de sa voiture. Je prends place dans le côté passager. Félix conduit tranquillement jusqu'au centre d'achats. Pendant que nous roulons sur l'autoroute, il me dit qu'il doit se trouver une nouvelles chemise, avec un pantalon propre et une cravate pour les 50 ans de mariages de ces grands-parents.

-Je t'avoue que j'adore ton style, donc je me suis dit que tu pourrais m'aidé, m'annonça-t-il avec un sourire en coin.

Ces cheveux blonds étaient parfaitement relevés, ces yeux d'un bleus parfait me faisaient fondre. Il est si mignon. Lorsque nous arrivons, nous commençons par aller manger. Après le repas que je mange sans appétit, nous commençons à chercher. Après quelques heures, il rentre dans une cabine d'essayage avec un habit complet. J'attends durant quelques minutes le temps qu'il se change. Finalement, il sort de la cabine. Je manque de cirer, il est...parfait. Il porte un pantalon beige, avec une paire de souliers bruns et une ceinture assortie. Sa chemise à manches longues est bleu marine avec de petits picots blancs. Il laisse le haut de sa chemise déboutonnée, se qui nous laisse apercevoir son cou musclé. Il sourit, ces dents sont parfaitement blanches, il me regarde et me demande:

-De quoi ai-je l'air?
-Parfais, lui dis-je avec un énorme sourire.

Ces yeux bleus me fixe intensément.

-Et si tu essayerais cette robe juste là, me pointe-t-il derrière moi.

-J'ai pas besoin de robe.

-Essaie la, svp, pour moi!

Je fini par céder et je vais chercher la robe de la bonne grandeur et rentre dans la cabine et ferme le rideau derrière moi. J'enfile la robe de soie de la même couleur que la chemise de Félix. Celle-ci se croise dans mon dos, il y a une petite ceinture avec une boucle au niveau de ma taille qui est attaché à la robe, de la même couleur que celle-ci. La robe m'arrive juste au-dessus du genou. J'ouvre le rideau et je sors.

-...
-De quoi ai-je l'air, lui demandais-je devant son visage paisible, qui m'empêche de savoir ce qu'il en pense.

-Tu....Tu es....parfaite....Wow! Tu est ravissante. Achète-là!

-Oh, je n'en est pas besoin, lui dis-je, pour lui masquer le fait que je n'est pas d'argent pour la pailler.

-Dommage, car elle te va comme une gant.

Je retire la robe et enfile mon linge. Lorsque je sort Félix est à la porte et m'attend, il a fini de payer. Nous continuons de magasiner encore un peu. Alors que nous rentrons dans un magasin de maquillage, je vois derrière moi Roméo, mais que fait-il ici. Il faut que j'ai lui parler m'excuser, mais comment faire alors que Félix est avec moi. Je prétends un mal de tête, disant que je suis fatigué et qu'il faudrait que j'ai au toilette, pour me rafraîchir le visage. Quelle excuse minable, il faut vraiment que je m'améliore question excuse. Je rentre dans les toilettes. Félix dit qu'il va m'attendre dans le magasin d'en face, il faut qu'il trouve un cadeau pour sa tante. Alors qu'il se retourne, je commence a courir si vite que personne, sauf les vampires doivent me voir. Lorsque j'aperçois Roméo, je m'arrête (bien-sûr je fait cela de façon à ce que personne ne m'aperçois. Je me cache derrière un mur et j'attends que Roméo me regarde. Il me voit et je lui fait un signe de me suivre. Je trouve un corridor qui mène un cul-de-sac où personne ne vient. Je me retourne et Roméo est là et il m'observe.

-Oui

-Je suis désolé, pour l'autre soir, j'aurais dû me retourner, je suis désolée, sur le coup je ne s'avait pas quoi dire, mais j'aurais dû répondre que moi aussi je crois que c'est possible, notre amitié et, et que ce n'est pas nos différences qui devrait nous séparé, car c'est stupides. Je m'excuse j'aurai dû me retourner et je suis désolée de ne pas l'avoir fait. Pardonne-moi s'il te plait...

-Heu....

-S'il te plait, excuse-moi, laisse-moi une deuxième chance.

-Oui, c'est, c'est bon...

-Oh merci! Lui dis-je en sautant dans ces bras pour lui donner un câlin.

Lorsque je remarque mon geste je le relâche. Il sourit et disparaît de ma vu en tournant le coin. Je sens son cœur battre et je sais qu'il est heureux. Puis il arrête de marcher er chuchote: «lundi soir, ça marche, pour le travail?». Puis je lui répond en chuchotant que oui, la joie d'être vampire est d'avoir une ouïe super bien développé,,comme les loups-garous. Je retourne en courant vers les toilettes et m'assure d'avoir l'air normale. Je m'excuse au près de Félix pour avoir été lente, il me dit que c'est correct et il me montre une carte avec un joli message. Il s'offre pour me ramener chez moi, puisque je fais semblant que je ne vais toujours pas bien, même,si c'est faux er que je ne veux en aucun cas arrêter notre journée, mais je n'est pas le choix. Si je veux avoir l'air crédible avec mon excuse de merde de tantôt. Il me rapporte chez moi et il me dit qu'il a adoré sa journée avec moi. Il passe ces bars autour de mes épaules pour me serrer dans ces bras, comme il est mignon! Il me raccompagne à la porte et remercie mon père de l'avoir laisser m'amener avec lui sans qu'il ne s'est présenté' au départ, donc il prend le temps de se présenter et repars en souhaitant une bonne fin de journée à mon père et ma mère.

-je n'aime pas les humains, mais lui il est poli, je crois que je pourrais m'habituer à le voir, pense mon père a voit haute en regardant à travers la fenêtre.

Je monte dans ma chambre le sourire aux lèvres, mon père qui apprécie un humain, une première dans l'histoire de l'humanité.

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Donc voilà pour le chapitre, j'espère que vous aimez!