Les enfants du désespoir

M-6 La vie ici

-Noa! C'est l'heure de manger viens mettre la table avec les autres!

Pff... Notre chère mère, maman ou nourrice toujours là pour interrompre les meilleurs moments... Dire que j'étais enfin tranquille dans le dortoir pour pour lire un des meilleur, et rare, livre autorisé. « J'arrive! »

Je ferme mon livre et descend de mon lit superposé pour rejoindre les autres. On est une vingtaine ici, dix-neuf pour être précise. Le plus petit à sept ans et moi je suis la plus grandes avec quinze ans bientôt seize dans six mois.

En entrant dans la salle à manger je vois mon meilleur ami Yoan, qui est né 2 jours après moi, qui m'adresse un grand sourire:

-A ta tête tu étais encore plongé dans un bouquin!

-Bah oui! J'en ai ras le bol, j'arrive pas à finir à finir un livre sans que l'on me dérange!

-Tu parles d'une famille de fortune, dis-je dédaigneusement.

Est-on vraiment une famille? Dix-neuf gamins et une « mère » pour veiller sur nous, le tout dans un orphelinat... Ici est l'un des nombreux orphelinat dit de la « dernière chance » qui rassemble tous les cas désespérés, les enfant d'on aucuns membres de la famille ne viendras jamais les chercher beaucoup sont là depuis leurs plus jeunes âge et n'on aucun souvenir du monde extérieur. Mais se serais quand même dommage pour le noble de notre pays de financer des orphelinats sans un retour sur investissement, alors dès que toutes les enfants on l'âge de travailler, 8 ans, on trouve un secteur en crise, on nous forme puis on notre trouve un emploi qui nous suivra jusqu'à nos 23 ans. En attendant on reste coincé ici dans notre grande maison composée d'un grand salon/salle à manger, un dortoir, une salle de douche collective et une suite pour notre nourrice.

« Noa?.... Noa? » Phil le plus petit tire sur ma jupe pour me sortir de me pensées.

-T'as pas l'air contente, ça va?

Je pris mon plus mon plus grand sourire pour cacher mes réelles émotions, si je disais à voix haute mes vraies pensées la nourrice ne manquerais pas de me punir car si quelque écart son tolérés pour les plus grands elle ne veux absolument pas que les petits se mettent à penser la même chose.

-Je suis juste un peu fatigué ça ira mieux après le repas t'inquiètes pas.

Une fois tous installées d'un plat de courgettes grillées et de poisson et après avoir remercié notre nourrice pour se repas, toujours aussi fade mais ça on ne dira rien, on put commencer à manger. Pff... dans un des livre que j'ai lut ça parle « d'épices » qui pourrait de manière miraculeuse rendre les repas meilleurs, ce serait incroyable si on pouvait en avoir...

-Noa? M'interpella la mère

-Hum? Répondis-je la bouche pleine.

-Avant d'aller vous doucher avec les autres toi et Yoan vous débarrasserais la table.

Quoi! Mais j'y crois pas elle c'est que je déteste ça et en se moment elle me rajoute plein de trucs à faire! J'ai envie de lui cracher mon brocolis à la figure! Mais si je rentre dans son jeu elle aura une raison de me punir... j'ai hâte que Phil ai 8 ans comme ça je pourrait enfin partir d'ici!

-Quelle plaie celle là! Dis-je à Yoan tandis que je finissait d'essuyer les dernières assiettes.

-Bah après elle t'embêtes mais elle ne peut pas te priver de grand chose si tu ne fais pas de conneries et si tu laisses couler elle finiras par se lasser.

-Moui... Enfin c'est quand même relou c'est notre seule famille avec les enfants et elle fais tout pour que je fasse un pas de travers et me punir c'est vexant.

-Aussi vu se que tu dis d'elle sur son dos c'est normal après je suis d'accord j'aimerais bien plus de libertés et sortir d'ici mais on n'a pas le choix.

-Bon puisse qu'on a fini faut qu'on aille se doucher.

Je me dirige alors vers les douche collective suivit de mon besti on se déshabille rapidement avant d'entrer dans une pièce carrelé du sol au mur composé d'une dizaine de douche sans séparation. On prend de douche à coté puis l'on commence à se doucher. Tiens l'entrainement de Yoan fonctionne ses abdos son de plus en plus visible, je le trouve parfait comme ça. Ça me rappelle un mots que j'ai lu dans le dictionnaire: être pudique, c'est avoir honte d'être nue devant quelqu'un ici personne ne connais ça puisque l'on vit tous ensemble depuis notre plus petite enfance. Je laisse mes yeux se perdre dans la contemplation de son corps parfait tandis que je continue mécaniquement de me laver. Il me ramena à la réalité avec une simple question:

-Tu peux me laver le dos s'il te plait?

-Ah euh oui! Je me sens rougir après ce léger cafouillage avant d'obtempérer.

J'en ai marre pourquoi de temps en temps je perd tout mes moyen avec lui? C'est ridicule je le connais depuis que je suis là, je n'ai aucuns souvenir sans lui alors pourquoi il me fascine tant en se moment?

Quand j'us finit de lui laver le dos il fit de même puis on sorti pour rejoindre les autre au dortoir. Et dire qu'une autre journée commence demain heureusement que lui est là pour me soutenir...