CHAPITRE 3

6 3 0
                                    

AÉROPORT TOKYO-JAPON

Le bruit réveilla Quantum, qui c'était assoupi quelques heures plus tôt. Un homme, habillé d'une combinaison grise, avait attrapé sa caisse et l'avait déposé aux côtés de celle de Frog.
-Alors ? T'as bien dormi, chat d'salon ? Ricana ce dernier, tendis que Quantum s'étira comme il le pouvait dans sa petite cage. 《On est arrivé. Il est temps pour nous de nous dire au-revoir》 Conclut le tigré, de sa voix rauque. Quantum acquiesça,  tendis que l'humain déposait les caisses de transports sur un tapis-roulant.
- J'espère que nous nous reverrons ! Miaula le bengale a son compagnon de voyage. Soudain, il aperçu une silhouette familière. Réa ! Voulut-il s'exclamé. Cette dernière afficha un sourir ravi en le voyant. Elle le sorti de sa cage et lui attacha un harnais ainsi qu'une laisse. Enfin à l'air libre ! Pensa Quantum, tout en ronronnant de satisfaction. Le félin se pelotona dans un panier en osier. Quand ils sortirent de l'aéroport, des multitudes d'odeurs vinrent titillé les naseaux de Quantum. Le béton, la pollution, la nourriture...Alors c'était ça l'extérieur ? Il redressa la tete, observant autour de lui. Il y avait un monde fou. Réa monta dans une voiture jaune et déposa le panier sur ses genoux.

Quelques minutes plus tard.

PDV QUANTUM

Je m'apprêtais à sortir de mon panier, quand Réa me força y rester. La portière de la voiture s'ouvrit. Un beau pavillon bordé d'un muret se dressait devant nous. Rien avoir avec notre chez-nous. L'humain inconnu sortit la boîte grise du coffre de voiture, puis partit, nous laissant seul, moi et Réa. Mon humaine ouvrit le portail menant au pavillon, puis entra. Il y faisait frais, à l'intérieur. Les murs étaient d'un blanc immaculé. Un fauteuil gris perle était disposé devant un grand écran. Je bondit hors de mon doux panier, et vint renifler les moindres recoins de se nouvel environnement. Une grande table en verre était disposé au milieu, sur un tapis de fourrure grise. Je bondit dessus, l'inspectant méticuleusement. Après avoir vérifié le bas, je montais à l'étage. La haut, une grande chambre y était disposée. Je sautais sur le lit, quand Réa m'attrapa (encore) par l'estomac. Elle dit quelque chose d'incompréhensible tout en riotant. Ne peut-elle pas me laisser explorer cette endroit étrange tranquillement ?

TROIS JOURS PLUS TARD

On dirait bien que cet endroit est mon nouveau lieu de vie. J'étais couché sur le canapé, comme à mon abitude. Je laissait échapper un soupir, quand mon œil dériva vers une fenêtre. Elle était légèrement entre-baillée...Attendez ! Quoi ? En effet, la fenêtre était entre ouverte. Je m'approcha doucement de celle-ci. On dirait bien que Réa avait oublié de la fermer. Je jettais une dernière oeillade deriere moi avant de m'y engouffré. Dehors, une fine pluie me fouetta le museau. Il faisait bon, tout de même. Je bondit au sol. Mes pattes atterirent sur une substance douce, verte. Alors c'était cela, qu'on appelait ”Herbe” ? Je décida de m'éloigner de la maison, pour éviter que Réa ne me voit dehors. Détalent vers le muret, je bondit dessus. De la, je pouvais voir des immeubles, des voitures, et une multitude de passants qui cheminaient sur les trottoirs de la ville. C'était impressionnant, pour un  félin n'ayant jamais vraiment poser une patte dehors. Je sautait au sol, de l'autre côté du muret, quand un pied faillit me cogner. Je cracha de peur, puis m'élança vers l'étendue de macadam ou aucun humain ne cheminaient. Une fois dessus, je repris mon souffle. Quand soudain, des phares lumineux eclaira mon pelage. Instinctivement, je me baissa. Une voiture venait de littéralement me passer dessus. Etait-je encore vivant ? Je crois, car, se moment là, mon cœur battit à tout rompre. Je m'élança de l'autre côté de la rue, manquant de me faire écraser une deuxième fois. Arrivé sur l'autre éxtrémité, je zigzaga entre les humains, évitant de peux de me faire cogner par leurs grandes jambes. Voyant une sombre ruelle, je m'y engouffra. Mes pupilles s'élargirent, pour voir dans l'obscurité de cette allée isolée. Je repris mon souffle, haletant. Il n'y avait ni humain, ni voiture. Mais une odeur familière flottait dans l'air. Je ne la connaissait que trop bien. Cette odeur féline tendue. Des chats étaient dans les parages. Je levait les yeux vers les hauts murs des immeubles, quand mon regard croisa un grand escalier en colimaçon. Environ un étage au dessus de moi, se tenait une ombre. Apeine ai-je eu le temps de reculé d'un pas, qu'une masse de fourrure noir et blanche me tomba sur le dos. Je senti deux canines qui se plantairent dans ma gorge, tandis que deux pattes arrieres me labouraient le ventre. Pris de panique, je donna un violent coup de patte sur le museau de mon assaillant, puis m'élança vers un mur, le percutant contre le béton. Il me lacha enfin. Je bondit en arriere, toutes griffes dehors. Le noir et blanc se releva, secouant sa tête. Un filet de sang la perlait derrière son oreille droite. Ses yeux étaient d'un jaune enragé.
- Toi, qu'est-ce que tu fous sur nos terres ? Me cracha-t-il au museau. Je voulut rétorqué d'une voix forte, mais celle-ci sortit tel un un soupir.
-Je..je ne savais pas, je..Un miaulement me coupa nette. Derrière le matou noir et blanc, apparurent deux autres félin. Un grand mâle noir robuste ainsi qu'une femelle écaille de tortue. Ils me regardaient tous les trois d'un regard à glacé le sang. Au fond de moi, je savais qu'ils ne me laisseraient pas repartir indemne...

NOUS CONCLUONS SE CHAPITRE AVEC 935 MOTS !

QUANTUMOù les histoires vivent. Découvrez maintenant