Cinq

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Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions 

- Confucius

- Je t'aime.

- Je t'aime aussi Léthé.

- Tu viendras me voir rouler ?

- Bien sûr !

***
- Je te déteste ! Comment tu oses me tromper alors qu'encore hier soir tu me disait que tu m'aimer !? Et tu profites de chaque course pour la voir ?! Et j'ai cru tes mensonges dure comme fer !

- Mais je t'aime !

- Non ! Sinon tu n'aurais pas fait ça ! Maintenant prends tes affaires et sort de chez moi Jonathan ! Je ne veux plus te revoir.

L'homme partit et elle ne le revit plus jamais.

Léthé se réveille en sueur après ce cauchemar qui n'est qu'un souvenir. Ces dernières nuits sont hanté par les souvenirs, deux semaines qu'elle est de retour dans sa maison, deux semaines que chaque nuit, un nouveau souvenirs revient. Et ils ne sont jamais joyeux. Elle est fatiguée car à chaque fois qu'elle essaie de se reposer, ses souvenirs viennent la hanté et l'empêche de se reposer.

Cela fait une semaine que Lewis est rentré à Monaco sous l'ordre de Léthé qui voulait qu'il se repose pour le reste de sa saison, car lui voulait rester à s'occuper d'elle.

Elle se lève de son lit et s'assoit sur son fauteuil avant de sortir sur sa terrasse. Le vent frais de la nuit, lui fait un bien fou, voir la lune refléter dans la mer, les étoiles qui brillent, l'apaise.

Son cœur ralentit jusqu'à avoir une vitesse descente. Elle était en couple et s'était fait tromper, la relation était revenu en tête, un an et demi avant la course du Mans, elle avait découvert. Selon les dire il l'aimait mais il n'était là que pour son argent et sa popularité.

Cela lui a créer des pensées où elle était en constante rivalité avec elle.

Elle avait perdu fois en l'humanité.

Elle se demander si c'était elle qui avait merdé.

Si c'était elle qui clocher, qu'elle n'était pas une priorité et elle le penser avec une sincérité qui pouvait attrister la moindre personne qui assister à ses pensées.

Elle passais ses journées à se dévaloriser, l'agressivité avait pris possessivité de son être.

La tranquillité avait fait place à la fragilité.

Elle était-elle même quand elle montait dans les voitures. Elle avait une haine constante en elle.

Elle a passé trois ans de sa vie avec lui. Et tout est parti en fumée.

Elle avait même voulue retourner en arrière et ne jamais fouiller son téléphone. La mèche ne se saurais pas allumer et rien n'aurait brûlée, leur relation ne se serait pas arrêté.

OublierOù les histoires vivent. Découvrez maintenant